Fever, blocked nose, loss of appetite: little Violette has a very virulent case of cat flu!
3,700 kg
Dry food offered
3,700 kg
Dry food necessary
CATASTROPHE ! En Tunisie, 120 chiens vont mourir de faim dans le refuge FSM !
Le refuge FSM à Djerba est en perdition : la présidente est détenue en Libye, les 6 salariés ont quitté les lieux, les bénévoles aussi...
Il ne reste plus que Isabelle, dernier rempart, elle lutte désespérement pour sauver ces animaux !
Mais aujourd'hui la fin est proche... Il n'y aura bientôt plus de croquettes !
Des dons étaient prévus, mais ils ne sont jamais arrivés, il n'y a pas de subvention, et aucune autre association ne peut intervenir.
Le compte a rebours est lancé, il ne reste que quelques jours de croquettes, quand il n'y en aura plus les chiens risquent de se dévorer entre eux !
Il n'y a pas d'alimentation de substitution possible, nous voulons livrer en urgence 3 700 kg de croquettes !
Nous devons faire vite !
Si cette collecte échoue, rien ne sera livré et nous ne pourrons pas garantir la survie à court terme des 120 chiens !
Collecte 100% confiance : découvrez nos garanties.
Le refuge FSM est situé à Djerba en Tunisie, il recueille actuellement 120 chiens.
Une précédente collecte avait permis de financer une livraison de croquettes, mais elles ont toutes été consommées, il ne reste plus que quelques jours de croquettes pour nourrir les animaux.
Chiwawaman est attaqué quotidiennement par la meute.
Jusqu’à l’été 2016, le refuge fonctionnait très bien, il était personnellement financé par Tiziana, sa fondatrice et mécène.
Mais son dernier déplacement professionnel en Libye a viré au cauchemar ! Elle a été enlevée par une milice et est depuis détenue sur place.
Au moment de son arrestation, elle a simplement eu le droit d’envoyer un SMS à Isabelle : "Je viens d'être arrêtée, je vous en prie, protégez mes bébés au refuge..."
Tiziana financait le fonctionnement du refuge avec ses fonds personnels, c'est elle qui payait la nourriture, les salaires des 6 employés. Depuis son arrestation il n'y a plus d'argent...
Depuis quelques semaines, Tiziana a été placée en résidence surveillée, elle reste détenue en Libye. En détention, elle ne peut plus financer le refuge.
Le refuge est pris au dépourvu : il comptait sur des dons qui ne sont finalement jamais arrivés...
En Tunisie, la protection animale est balbutiante et les animaux sont très mal considérés : peu de gens font des dons pour cette cause.
Pour la même raison, aucune subvention publique n'existe. Le refuge a sollicité plusieurs fondations internationales, mais aucune d’entre elles n’accepte d’intervenir dans ce pays…
Les appels aux dons lancés en urgence sur Internet recontrent peu de succès... C’est un véritable cauchemar, car en parallèle le stock de croquettes ne cesse de diminuer !
Après l’arrestation de Tiziana, la demi-douzaine de salariés qui travaillaient au refuge est partie, abandonnant chats, chiens et dromadaire à leur triste sort…
Jusqu’à la fin du mois de mai, il y avait encore un salarié et Isabelle pour s’occuper des 120 chiens du refuge.
Mais à cause de soucis de santé, la salarié a fini par partir et Isabelle se retrouve désormais seule pour veiller sur tous les animaux et assurer leur subsistance !
La nuit un gardien surveille le refuge, le matin il nettoie le terrain, mais l'association n'a plus les moyens de le payer, il est juste nourri et n'intervient pas dans la gestion des animaux.
Karine, une bénévole Française est venue passer 15 jours sur place pour lui prêter main-forte, mais elle est maintenant rentrée en métropole et Isabelle se retrouve de nouveau seule...
Annie une bénévole passe le week-end pour aider Isabelle dans son combat.
« Quand le salarié était encore là nous pouvions envisager de préparer une sorte de pâtée à base de riz, de légumes et d'os de poulet pour nourrir les chiens quand nous n’avions pas assez d’argent pour acheter des croquettes. C’était beaucoup de travail, mais nous le faisions », explique Isabelle.
« Seule, je ne peux plus le faire, je passe déjà tout mon temps à m'occuper des animaux. Il faut des heures pour cuire le riz, préparer les légumes, décortiquer les caracasses, faire refroidir les repas...»
« Comme il n’y a plus de croquettes… je ne sais pas comment je vais nourrir les chiens, maintenant ! » s’alarme-t-elle.
Isabelle commence déjà ses journées à 3h30 du matin. « Je commence par nourrir mes chats avant de m’occuper des 14 chiens que j’ai chez moi, ainsi que 3 autres chiens sur un terrain voisin. »
« Ensuite, c’est la préparation des gamelles. Je leur donne également à boire puis je file au refuge, où je passe alors toutes mes matines entre le nourrissage des chiens, le nettoyage des enclos, les soins aux malades et blessés légers... »
« À cela se rajoutent les courses pour tout ce petit monde, et parfois, il faut gérer les urgences vétérinaires… avec toujours, en plus de la fatigue physique, l’angoisse de ces questions : comment va-t-on payer ? Combien de temps peut-on encore tenir ainsi ? »
« Je rentre chez moi exténuée et me couche à 19h. »
Pour Isabelle, c’est très difficile : « Je suis la dernière sur place, c'est très difficile, mais si je pars ou si je lâche ça sera la fin pour ces animaux, je ne peux l'accepter ! »
Quand les chiens ne mangent pas, ils sont tenaillés par la faim et deviennent agressifs.
Les plus forts empêchent les plus faibles d’accéder aux gamelles et des bagarres éclatent.
« Ça peut très mal finir, raconte Isabelle. On a parfois de très sérieuses blessures, qui nécessitent des soins d’urgence chez le vétérinaire, des points, voire une amputation. »
Une meute de chiens peut même s’attaquer à un animal plus faible pour le dévorer.
8. Les chiens ne peuvent pas être transférés à une autre association
En Tunisie, la plupart des animaux abandonnés vivent dans la rue, le pays ne compte que quelques rares refuges qui sont tous saturés, et les adoptions sont rares.
Il n'y a pas de solution possible pour évacuer en urgence les chiens.
Comme si toutes ces difficultés ne suffisaient pas, le sort s’acharne sur Isabelle : elle est sur le point d’être expulsée par son propriétaire avec ses 14 chiens !
« Ici, les animaux domestiques sont très mal vus. Mon propriétaire s’est mis dans une colère noire quand il s’est aperçu que j’avais tous ces chiens chez moi », raconte Isabelle.
« Ils étaient gravement malades ou blessés, et je ne pouvais compter sur personne pour s’en occuper. Je n’avais pas le choix ! »
Choix ou pas, l’ancien propriétaire de cette bénévole dévouée n’a rien voulu savoir et a préféré lui annoncer son expulsion pour le 15 octobre.
Mais elle a beau chercher, Isabelle ne trouve pour l’instant nulle part où ses chiens et elle soient les bienvenus.
L’unique personne sur laquelle les 120 chiens du refuge peuvent actuellement compter est donc sur le point de se retrouver à la rue ! Un drame de plus !
« Toutes les chiennes du refuge ne sont pas encore stérilisées. Faute de moyens, beaucoup d’entre elles ont seulement subi une ligature des trompes, une opération moins coûteuse, mais qui n’annule pas leurs cycles », explique Isabelle.
Même si elles sont parquées à l’écart des mâles, ceux-ci redoublent d’agressivité lorsqu’elles sont en chaleurs. Des bagarres éclatent encore, et les chiens se blessent entre eux, ce qui occasionne des soins et des frais supplémentaires…
« La seule façon de résoudre ce problème serait de stériliser vraiment les femelles », remarque Isabelle. Malheureusement, notre priorité est de nourrir les animaux.
« Et je n’ose même pas imaginer la gravité des blessures lorsque ces chiens qui se battent pour des femelles seront également affamés… » ajoute la bénévole.
Pour couronner le tout, une épidémie de parvovirus a débuté sur l’île de Djerba !
Cette maladie provoque des diarrhées et des vomissements, car les animaux se déshydratent très vite. Pour les chiots elle est mortelle.
C'est une maladie très contagieuse, la seule façon de s’en protéger est la vaccination. Mais comment l’envisager alors qu'il n'y aura bientôt même plus de quoi nourrir les chiens !
En Tunisie, une partie de la population voit les chiens comme des parasites dont il faut se débarasser. Rejetés, beaucoup de chiens vivent dans la rue.
Affamées les pauvres bêtes se rapproche d'habitants qui les chassent, ainsi il n'est pas rare de voir des enfants lancer des pierres sur les chiens. La plupart d'entre eux meurent dans la rue sous les roues des voitures, les plombs de la police ou encore d'épuisement.
(Cette vidéo peut choquer )
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- Animal Webaction aide depuis 4 ans plus de 400 associations de protection des animaux, nous avons déjà réalisé 700 livraisons dans 3 pays (voir les photos).
- Nous contactons chaque association partenaire, nous nous assurons de son sérieux et lui demandons des justificatifs.
- Nos associations partenaires reçoivent uniquement des produits physiques : jamais d'argent. Vous offrez 10 kg, nous livrons 10 kg de croquettes à l'association.
- Nous assurons nous-mêmes le transport des produits jusqu'au refuge, une livraison rapide est donc garantie.
- Les croquettes offertes seront fabriquées en Europe puis importées par bateau, et soumises aux droits de douane (il n'y a malheureusement pas de fabricant de croquettes en Tunisie).
- Nous vous préviendrons par mail dès que votre don aura été livré par nos soins.
- Nous demanderons au refuge de prendre des photos des croquettes reçues, nous vous enverrons ces photos.
- Le paiement des dons est 100% sécurisé par Paypal, vous n'êtes pas obligé de posséder un compte Paypal pour payer.
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