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Des granulés pour Arche et Relais

L'été caniculaire et le sauvetage imprévu d'une ponette gestante ont épuisé les stocks de nourriture de l'association.

600 kg
Pellets offered

600 kg
Pellets necessary

font-size:18px">L'été caniculaire et le sauvetage d'une ponette gestante ont épuisé les stocks de nourriture de l'association.

Sans vos dons, les équidés de l'association n'auront pas assez de granulés pour passer l'hiver !

L’association Arche et Relais a été créée en avril 2015 dans le nord des Deux-Sèvres (79), après quatre années d’implication personnelle de ses fondateurs en faveur des animaux en difficulté. Ses principales actions s’articulent autour de l’accueil, la stérilisation, la vaccination, les soins (y compris en urgence) des chiens et chats errants ainsi que des équidés. L'association accueille actruellement 11 équidés.

Des bénévoles dévoués mais fatigués

Fabienne est l’une des fondatrices de l’association. Avec deux autres bénévoles, c’est elle qui effectue les tâches quotidiennes et assure le suivi des animaux. En plus de son emploi, elle leur consacre ainsi 6 heures par jour : sortir les équidés le matin, nourrir les chats errants et les chiens recueillis chez elle, nettoyer les box et renouveler leur litière avant de rentrer juments et ponettes le soir, assurer les achats de nourriture hebdomadaires pour tout ce petit monde…

La pauvre Edilie : Cette jument de 23 ans est arrivée en mauvaise état à l'association, il a fallu lui faire arracher plusieurs dents. Elle a désormais des difficultés à mâcher et l'association a besoin de granulés pour lui faire des soupes qu'elle pourra avaler.

Fabienne aimerait pouvoir compter sur plus de personnes au quotidien, mais elle ne se plaint pas. Si Fabienne donne énormément de son temps à l’association, elle pourrait bien aussi y laisser un peu de sa santé, tant la situation des équidés l’inquiète...

Des réserves de granulés épuisées avant l'hiver

En temps normal, l’association gère au mieux son pré de 4 hectares en faisant tourner les chevaux de sorte que l’herbe ait le temps de se régénérer et en produisant même son foin pour l’hiver.

Mais la découverte qu'une ponette sauvée était gestante avant son sauvetage et le temps extrêmement sec de cette année ont conduit les équidés à manger le foin prévu pour l’hiver avant même que le froid ne soit là.