Diabetes, missing teeth, fragile health: Quincy is facing one hardship after another!
400 kg
Dry food offered
400 kg
Dry food necessary
Sans votre aide, que vont manger les chiens dans les semaines à venir ?
Vivette ne supportait plus de voir des animaux euthanasiés sous des prétextes fallacieux. En avril 2007, elle crée l’association SOS Animal Tendresse, en Eure-et-Loir (28), pour recueillir ces animaux maltraités et exclus.
Sans compter ceux qui se trouvent en familles d’accueil, Vivette partage sa grande maison et son jardin avec environ 110 chats, 7 chiens, une ponette et quelques autres espèces, tous identifiés, vaccinés et stérilisés.
Des chiens sortis de l’enfer
Il est difficile d’imaginer la vie qu’ont d’abord connue les chiens qui ont trouvé refuge auprès de Vivette. Battus dès leur plus jeune âge, privés de nourriture, rendus agressifs par leurs maîtres à dessein, tous ont nécessité énormément d’attention et d’affection, ainsi qu’un certain temps d’adaptation à la vie en groupe.
Après une période passée en chenil, dans le jardin, sous le grand cèdre, où les chats viennent les apprivoiser, les chiens sont peu à peu amenés à découvrir la liberté. Des séances d’éducation canine sont parfois nécessaires pour que les chiens dépassent leurs traumatismes et apprennent à vivre normalement dans un foyer aimant.
Plus d’argent pour acheter des croquettes
« Nous sommes en faillite, et nous avons encore des factures en attente chez le vétérinaire… La situation est très préoccupante » résume Vivette avec inquiétude. « Et je n’ai personnellement qu’une petite pension d’invalidité ! »
Quant aux collectes en supermarchés, elles ont permis à l’association de tenir tout l’hiver, mais il n’y a maintenant presque plus de stock. Vivette n’a plus la force d’organiser un nouvel événement de ce type, car elle se fatigue vite et met de plus en plus de temps à s’en remettre. L’horizon paraît bien sombre pour SOS Animal Tendresse, sans aide extérieure…
Que vont-ils manger ?
Vivette : l’engagement à (très) grande échelle
Bénéficiaire d’une pension d’invalidité après avoir été renversée par une voiture, cette ancienne infirmière a de grands projets pour structurer la protection animalière dans son département. Elle accompagne aussi les nourrisseurs des communes voisines dans la création de leurs propres associations.
« Il vaut mieux aller vers des projets qui peuvent toucher des centaines d’animaux que de prendre trop de risques chez soi pour en sauver juste quelques-uns. Mais tant que je suis tous les jours à m’inquiéter de leur nourriture, je ne peux pas faire grand-chose d’utile. »
Vivette remercie par avance tous ceux qui l’aideront à acheter les croquettes indispensables à ses chiens !