Purulent eyes, blocked nose: poor Chuketta lives outside with cat flu!
340 kg
Dry food offered
340 kg
Dry food necessary
" je redoute déjà les prochains achats de nourriture "
Les chiens de Madeleine ont connu l'enfer, ne les laissons pas connaitre la faim !
En janvier 2014, alors qu’elle vient d’acquérir une maison avec un lopin de terre dans le sud de la Gironde, Madeleine peut enfin réaliser son rêve : fonder un refuge pour sauver de la mort toutes sortes d’animaux. Elle prend actuellement en charge une centaine de bêtes, depuis les chiens et chats jusqu’aux cochons vietnamiens.
Des chiens qui ont échappé au pire
Une quinzaine de chiens sont actuellement pris en charge par l’association, que ce soit au siège social ou en familles d’accueil. Plusieurs d’entre eux partaient très mal dans la vie.
« Boule était sur le point de rejoindre un circuit clandestin où on l’aurait tué pour sa viande. Daisy a failli être enterrée vivante avec le reste de sa portée parce que ses anciens maîtres n’en voulaient pas. Laïka n’aurait pas pu être opérée de sa double fracture à la patte par ses anciens propriétaires », énumère Madeleine avec lassitude.
Que vont-ils manger ?
Plus d’argent pour acheter la nourriture
L’association a très peu d’entrées financières, et même si Madeleine se démène pour trouver de l’alimentation à bas prix auprès de voisins agriculteurs, les frais de nourriture restent très élevés pour elle, qui doit la plupart du temps les financer toute seule.
Malheureusement, des frais supplémentaires sont apparus avec l’arrivée récente d’une vingtaine de chats. « J’ai déjà payé plus de 30 stérilisations de ma poche, et il reste 6 chats à castrer. Mais l’un d’eux, blessé lors d’une bagarre, a dû être opéré pour évacuer un amas de pus. Je n’ai pas encore reçu la facture, mais je redoute déjà les prochains achats de nourriture », s’inquiète la présidente.
Madeleine : « Je me fais passer en dernier »
Sans emploi, partiellement handicapée et mère de 2 adolescentes qu’elle a élevées seule, Madeleine consacre tout son temps libre à l’association et finance la quasi-totalité des dépenses sur ses deniers personnels.
Cette situation est périlleuse pour maintenir une vie de famille harmonieuse. « Mes filles ne comprennent pas toujours que j’accorde autant d’importance aux animaux. Mais comment ne pas m’inquiéter pour eux alors que je ne sais même pas comment les nourrir ? » conclut Madeleine avec inquiétude.
Madeleine remercie par avance tous ceux qui l’aideront à nourrir ses protégés.