Poor Jacqueline was found outside, blind and toothless...
384 pouches
of meat offered
384 pouches
of meat necessary
Si cette collecte échoue : les donateurs seront remboursés et l'association ne recevra rien.
Aloha est une jeune chatte dans un terrible état, mal nourrie, elle souffre de grosses carences, et on l'a laissé devenir définitivement aveugle...
L'association a besoin de sachets pour améliorer son état !
Aloha vivait chez un monsieur possédant de nombreux chats et s’étant laissé déborder par les portées. « Il n’avait ni les moyens ni les compétences pour s’occuper d’autant d’animaux à la fois », raconte Joëlle, la présidente, en évoquant les 30 chats et les 2 chiens qui vivaient dans des conditions déplorables.
Suite à un accident de voiture ayant laissé leur propriétaire dans le coma pendant plusieurs jours, les animaux sont restés livrés à eux-mêmes pendant une semaine avant que l’alerte soit donnée.
« Aloha est sans doute devenue aveugle à cause d’un coryza non soigné alors qu’elle était bébé – tous les chats de ce sauvetage sont porteurs du coryza, d’ailleurs », déplore la présidente. « En plus de sa cécité, elle souffrait de gingivite et a une très mauvaise dentition, ce qui fait qu’elle n’allait pas aux gamelles et restait à l’écart des autres chats. »
« Il nous faudrait de la nourriture pour rattraper les carences énormes dont elle souffre, elle paraît avoir 6 mois alors qu’elle a 2 ans ! A cause de sa mauvaise dentition, elle a des difficultés à mâcher les croquettes, les sachets lui permettraient de se nourrir correctement, mais nous ne pouvons pas nous permettre d’en acheter », explique Joëlle avec inquiétude.
Plus d’argent pour acheter de la nourriture
Ce récent sauvetage a occasionné d’énormes frais pour cette petite structure, dont les ressources sont très limitées, puisqu’elle se consacre en temps normal à la sensibilisation et l’information.
« Nous manquons de tout, a fortiori après avoir payé les stérilisations et soins vétérinaires dont absolument tous ces chats ont besoin, que ce soit pour traiter des coryzas, des calicivirus ou des gales d’oreille... C’est très difficile financièrement », conclut Joëlle, préoccupée.