Damaged teeth, loss of muscle mass: Tanka needs dietary supplementation...
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Le propriétaire de Jolicoeur était dépassé par ses chats... Jolicoeur souffrait d'une gale d'oreille et d'un coryza jamais soignés.
L'APSANA est intervenue et passe désormais régulièrement, mais elle a besoin de sachets pour le nourrir !
Jolicœur vivait chez un monsieur possédant de nombreux chats et s’étant laissé déborder par les portées. « Il n’avait ni les moyens ni les compétences pour s’occuper d’autant d’animaux à la fois », raconte Joëlle, la présidente, en évoquant les 30 chats et les 2 chiens qui vivaient dans des conditions déplorables.
Suite à un accident de voiture ayant laissé leur propriétaire dans le coma plusieurs jours, les animaux sont restés livrés à eux-mêmes pendant une semaine avant que l’alerte soit donnée.
« Jolicœur souffrait de coryza et d’une gale d’oreille jamais soignés – il se démangeait tellement qu’il s’est arraché une partie de l’oreille ! » déplore la présidente. « Malgré tout, il était parmi les chats en meilleure santé du site. Il a donc été remis sur place après sa stérilisation : nous assurons les soins vétérinaires et assistons le propriétaire pour que les chats restants soient correctement nourris. »
« Certes, les chats sont restés une semaine sans nourriture, mais les retards de croissance et les carences observés traduisent une malnutrition bien plus ancienne. Il nous faudrait de la nourriture de bonne qualité pour que Jolicœur retrouve une santé parfaite », explique Joëlle, préoccupée.
Plus d’argent pour acheter de la nourriture
Ce récent sauvetage a occasionné d’énormes frais pour l’APSANA, dont les ressources sont très limitées, puisqu’elle se consacre en temps normal à la sensibilisation et l’information.
« Le monsieur est rentré. Il nourrit les chats avec ce que nous lui portons chaque semaine : un coffre de voiture plein de nourriture et de litière. Mais nos réserves se sont vite épuisées. Je suis très inquiète pour l’avenir, car nous ne pourrons pas nourrir tous les chats en permanence avec le peu de moyens dont nous disposons », conclut Joëlle.