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Des granulés pour Tagada Spirit

L'association a besoin d'aide pour nourrir Fakir, un cheval maltraité par ses anciens propriétaires.

175 kg
Pellets offered

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FF0000">Attention ! Si cette collecte échoue, les donateurs seront remboursés et l'association ne recevra rien.

Fakir était délaissé par ses anciens maitres, ils l'attachaient avec des câbles qui l'ont blessé au postérieure.

Fakir a maintenant 22 ans, il a de gros problèmes de dentition et ne peut manger que des soupes à base granulés.

Muriel doit vendre sa ferme, elle a besoin de notre aide pour continuer à nourrir Fakir !

Fakir est un cheval de 22 ans, arrivé à Tagada Spirit il y a deux ans. « Il avait des blessures aux postérieurs car il avait été entravé avec de gros câbles, » se souvient Muriel, présidente de l’association.

« On n’a jamais croisé ses propriétaires. C’étaient des particuliers avec deux chevaux — l’autre, une jument, est malheureusement décédée — qu’ils abandonnait ponctuellement dans les champs. Ils les laissaient livrés à eux-mêmes, » s’indigne-t-elle.

Fakir était bien mal en point au moment de son sauvetage. « Il ne mangeait plus rien. En plus de ses postérieurs abimés, il avait un ulcère dans l’œil. On a réussi à le soigner, mais il aura toujours une tache blanche et sa vue ne sera plus jamais la même, » se désole Muriel.

Aujourd’hui les troubles de l’alimentation de Fakir sont plus ou moins résolus mais son âge avancé et le peu de soins qu’il avait reçu dans le passé ont eu un impact sur sa dentition. « Je dois lui préparer moi-même une bouillie pour qu’il puisse se nourrir correctement, » confie Muriel. Les granulés sont un élément essentiel de l’alimentation de Fakir, qui a grand besoin d’une alimentation saine et nutritive.

Une association en détresse

Tagada Spirit est une association de sauvetage de chevaux située dans l’Hérault. Aujourd’hui, elle cherche désespérément des dons pour pouvoir continuer à sauver la vie des équidés maltraités et abandonnés.

« Suite au décès de ma sœur et à la séparation avec mon conjoint, je suis contrée de vendre la ferme où nous sommes actuellement. Trouver des terrains, et les clôturer implique beaucoup de dépenses et j’ai du mal à m’en sortir, » confie Muriel qui vit aujourd’hui dans un mobil home. En pleine transition, Tagada Spirit a cruellement besoin d’un coup de pouce pour pouvoir rebondir.