Poor Indila is all skinny and weak!
432 pouches
of meat offered
432 pouches
of meat necessary
Hope vit dans la rue où elle allaite ses petits.
Malheureusement, l'association n'a jamais vu ses chatons, Hope les cache quelque part...
Les bénévoles ne peuvent donc pas sortir Hope de la rue, car cela condamnerait à mort ses petits.
Pour allaiter ses chatons et leur éviter des carences, Hope doit beaucoup manger, c'est pour cette raison qu'elle fouille désespérément les poubelles !
L'association veut absolument la nourrir, mais elle manque de sachets : nous devons l'aider !
Hope est une jeune minette très sociable d’environ huit mois, découverte par hasard par l’association APATE. « Je l’ai découverte le soir en rentrant mes poubelles. Elle n’était pas identifiée et portait seulement un vieux collier antiparasite très abimé, » se souvient Magali, secrétaire de l’association.
Hope était visiblement venue chercher quelque chose à manger, mais pas seulement pour elle. « Je me suis rendue compte qu’elle allaitait, ce qui compliquait la tâche. J’aurais pu la prendre, la mettre en sécurité et la stériliser mais que serait-il advenu de ses chatons ? » explique Magali.
Malgré des recherches intensives et l’aide d’autres associations, les chatons restent introuvables. « On ne sait pas où ils sont donc j’ai décidé de la laisser sur place et de lui apporter à manger tous les jours. Une maman aussi jeune nécessite de manger énormément pour avoir la force d’allaiter.
On lui amène quantité de croquettes, de la pâtée et de l’eau, » confie Magali. En attendant que ses chatons grandissent, le seul moyen de garder un lien avec Hope et de s’assurer que sa santé n’est pas en danger est donc de continuer à la nourrir.
L’association APATE, créée en 2004, sauve et soigne des animaux abandonnés. « On commence doucement à recevoir des subventions de la mairie et du conseil général, mais elles mettent plus de six mois à arriver et restent relativement maigres. Cela ne couvre même pas un mois de vétérinaire partenaire et nos dépenses en soins sont très élevées, » explique Magali.
« Il n’est pas rare que nous payions ces soins nous-même quand l’association manque de fonds, » confie Magali. Les frais de vétérinaire laissent APATE sans un sous pour acheter des couvertures, des abris, et de la nourriture, nécessaires à la survie de ses pensionnaires.