Thin, starving and injured, little Linette was left to fend for herself!
140 kg
Dry food offered
140 kg
Dry food necessary
Le maitre de charlie a été expulsé, il s'est retrouvé à la rue avec son chien...
Il a alors pensé à le faire euthanasier, mais il l'a finalement confié à l'association réflexe adoption.
Pour que Charlie puisse rester à l'association, il faut des croquettes pour le nourrir !
aurait dû être euthanasié suite à l’expulsion de son ancien propriétaire. L’association Réflexe Adoption l’a recueilli et prend désormais soin de lui. Malheureusement, il n’y a plus d’argent pour acheter ses croquettes. Ne laissons pas tomber Nathalie !
Charlie est un griffon Khortals âgé de 8 ans que l’association a recueilli après que son maître ait été expulsé de chez lui. « Il vivait dans la rue, et son maître ne voulait pas lui imposer cette terrible existence. Il songeait même à le faire euthanasier ! Heureusement, il s’est adressé à nous », raconte Nathalie, une bénévole de l’association.
« Notre pauvre Charlie n’a jamais connu les caresses et autres marques d’affection. En conséquence, c’est un chien peu sociable, qui grogne si on vient troubler de trop près sa tranquillité. De plus, son manque total d’éducation se ressent encore, même si nous y travaillons », ajoute Nathalie.
Avec un peu de chance, Charlie trouvera son nouveau foyer prochainement. Seule ombre au tableau d’ici là : il n’y a plus d’argent, et même acheter les croquettes pour lui et les autres protégés de l’association devient délicat…
Des sauvetages de chiots très coûteux
Réflexe Adoption a eu ces dernières semaines à prendre en charge beaucoup de chiots très jeunes qu’il a fallu biberonner et nourrir avec les produits adaptés. « Le lait maternisé et les croquettes spécial chiot coûtent une fortune et impactent très fortement notre budget.
Et c’est sans compter tous les chatons que nous devons aussi prendre en charge, avec stérilisations, vaccins et identifications à la clé… Financièrement, c’est très compliqué. Je ne sais pas comment nous pourrons nous en sortir sans aide extérieure », avoue Nathalie, préoccupée.