Poor Dolly, suffering from FIV and gingivitis, is struggling to eat!
150 kg
Pellets offered
150 kg
Pellets necessary
Poly a été retiré à ses premiers maîtres, chez qui il était complètement négligé.
Quand il est arrivé, non seulement il était squelettique, mais il avait aussi la gale, souffrait d’une blessure à côté de l’anus, et était infesté de poux et de vers !
Réflexe Adoption s’occupe actuellement de 18 équidés, mais ne sait plus comment acheter tous les granulés nécessaires.
Cette collecte permettra de financer des granulés, le réconfort de Poly dans sa nouvelle vie !
Poly est un Shetland de 22 ans que l’association a recueilli il y a environ un an dans un état pitoyable. « Vu son âge, nous ne pouvons pas savoir tout ce qu’il a enduré, mais il semble que cela se rapproche de l’enfer sur terre », raconte Nathalie, une bénévole de l’association.
« Poly vivait attaché en permanence avec une simple chaîne. Il était infesté de poux, de vers ; il avait la gale, et une plaie à côté de l’anus, car il avait été mordu par le chien de la famille. Et pire que tout : il était régulièrement monté par les enfants malgré son état squelettique et le déboîtement régulier de sa hanche gauche ! » s’indigne Nathalie.
Après un an de soins à l’association, Poly va beaucoup mieux. Son caractère est nettement plus doux qu’à son arrivée, il est déparasité pour de bon et ses poils repoussent. Malheureusement, les frais d’alimentation pour lui et les 17 autres équidés pris en charge par Réflexe Adoption sont très élevés et l’argent manque pour acheter des granulés, qui sont son petit plaisir…
Des sauvetages de chiots très coûteux
Réflexe Adoption a eu ces dernières semaines à prendre en charge beaucoup de chiots très jeunes qu’il a fallu biberonner et nourrir avec les produits adaptés. « Le lait maternisé et les croquettes spécial chiot coûtent une fortune et impactent très fortement notre budget.
Et c’est sans compter tous les chatons que nous devons aussi prendre en charge, avec stérilisations, vaccins et identifications à la clé… Financièrement, c’est très compliqué. Je ne sais pas comment nous pourrons nous en sortir sans aide extérieure », avoue Nathalie, préoccupée.