Little Hugo was poisoned and spent a week on a drip!
432 pouches
of meat offered
432 pouches
of meat necessary
Kara-Mel n'a plus de lèvre supérieure !
Laissé à lui-même et à ses douleurs dans une maison remplie de trop de chats, Kara-Mel était en train de dépérir avant que l'association ne le prenne en charge...
Ses ulcères buccaux et ses gingivites récidivantes continuent pourtant à le faire souffrir, malgré un traitement régulier.
Kara-Mel ne peut manger que des sachets : l'association en consomme 2 500 par mois !!
Kara-Mel a grandi dans une maison où il avait beaucoup de chats... Un peu trop pour sa propriétaire, car elle ne prenait pas la peine de s'en occuper convenablement. Sylvie, la présidente de l'association, s'en indigne encore « Au départ, on venait pour récupérer deux femelles... Au final, nous sommes partis avec neuf chats, après plusieurs voyages. Le pire, c'est qu'elle ne voulait même pas s'en séparer, alors que les animaux étaient en carence, couverts de puces... »
Le cas de Kara-Mel a particulièrement ému Sylvie « il y avait ce pauvre chat... Elle disait qu'il avait de temps en temps mal à la lèvre. C'était pire que ça. Kara-Mel avait des ulcères bucaux qui n'avaient jamais été soignés et sa lèvre supérieure a carrément disparu. »
Il est trop tard pour la lèvre de Kara-Mel... et peut-être pour ses dents « il a des gingivites régulières, on doit lui faire des injections toutes les deux semaines. Il faudra sans doute lui enlever toutes les dents au final. »
À cause de ses douleurs, Kara-Mel ne peut manger que des sachets. Il risque fort de ne jamais être adapté à cause de sa lèvre manquante et sera à la charge de l'association pendant de nombreuses années. Il a besoin de vous pour se nourrir !
2 500 sachets consommés chaque mois !
C'est plus de cent chats et chatons qui dépendent des soins de l'association et de la centaine de kilos de croquettes achetées chaque mois, et plus de 2 500 sachets consommés chaque mois ! Les chatons sont particulièrement nombreux en cette période, comme nous l'explique Sylvie « On n'arrête pas. Tous les jours, on entend parler de chatons abandonnés, âgés de quelques jours à peine, dans des poubelles ou sur des tas de fumier.
Je devrais les refuser mais quand il y a urgence et danger de mort, ce qui est le cas pour eux, c'est impossible de dire non. »