Noenoeil has lost sight on one side due to an injury that got infected!
225 kg
Pellets offered
225 kg
Pellets necessary
Moussette restait couchée au sol, mourante, quand l'association est intervenue !
L'ânesse, sous-alimentée et déshydratée, était sous le coup d'une infection mortelle... Un traitement de choc a été nécessaire pour la remettre sur pied !
Moussette n'est pas encore totalement tirée d'affaire...
Elle a besoin de soins et de granulés pour récupérer des forces, mais le refuge en consomme 1 800 kg chaque mois, l'ADADA a besoin de notre aide pour la nourrir !
Une collecte a déjà échoué, ne laissons pas cela se reproduire !
Moussette patientait dans un pré depuis plusieurs semaines, quand l'association a enfin été appelée. Marinette, la présidente, raconte cet abandon « ses propriétaires, sous tutelle, étaient à l'hôpital depuis trois semaines quand leur tuteur s'est décidé à faire appel à nous. Il était plus que temps, Moussette, affamée, ne parvenait plus à se mettre debout. »
Le vétérinaire, appelé en renfort, s'est d'abord occupé de réhydrater l'ânesse et plusieurs perfusions ont été nécessaires. Ce n'était pourtant pas tout « Moussette avait un abcès sur la joue, qui a éclaté en laissant un trou béant. Il est d'ailleurs encore infecté.
Elle était squelettique et nous avons fini par découvrir qu'elle a une piroplasmose (une maladie mortelle, transmise par les tiques). Heureusement que l'on s'en est rendu compte à temps et que nous avons pu la traiter... »
Tous ces traitements alourdissent considérablement le budget de l'association. Et ce n'est sans doute pas encore fini « Quand Moussette se couche, elle a encore des difficultés à se relever. Nous devons l'aider. »
Aujourd'hui, des granulés permettraient non seulement de nourrir Moussette, qui a besoin de reprendre des forces, mais aussi de soulager l'association, qui a investit beaucoup d'argent pour soigner l'ânesse.
Pas de subventions et beaucoup trop de frais
Adada a été créée en 1968 et Marinette en est la troisième présidente. Ce sont actuellement plus de 300 ânes qui dépendent de ses soins et des 1800 kg de granulés qui leur sont distribués chaque mois.
Marinette a vu une évolution des conditions de vie des ânes ces dernières années « il y a beaucoup plus de maltraitance et d'animaux laissés à l'abandon dans des prés. Les ânes n'arrivent pas chez nous en bon état, ils sont blessés ou en carences alimentaires. Nous avons beaucoup de frais vétérinaires et il faut se battre pour récupérer de l'argent. »