Diego is losing his fur and suffering from chronic gingivitis...
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of meat offered
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Personne ne voulait soigner Pépito, atteint de la gale et d'une otite infectieuse !
La maladie avait déjà atteint son cerveau quand l'association l'a pris en charge... Il gardera toute sa vie la tête penchée
Rien qu'en sachets, l'association dépense 600 € chaque mois, sans votre aide Marcel et Evelyne ne savent pas comment continuer à nourrir les chats des rues et ceux qu'ils hébergent.
Ne les laissons pas tomber !
Pépito vivait dans un petit village. Tout le monde le connaissait... mais personne ne s'occupait de lui. Marcel, le président de l'association, se souvient de leur rencontre « c'est un motard qui nous a alerté, après avoir vu ce chat malade errant dans les rues. On s'est déplacé plusieurs fois jusqu'à ce qu'on parvienne à le trouver. Pépito avait la gale et une otite infectieuse et, à cause de sa maladie, personne ne voulait le prendre chez lui ni le faire soigner. »
L'association a pris Pépito en charge... mais il était déjà un peu trop tard pour lui « on a pu soigner sa gale, mais le vétérinaire nous a prévenu que la maladie avait atteint le cerveau. Il gardera toujours la tête un peu penchée sur le côté. »
Pépito a aussi besoin de soins réguliers « on lui met des gouttes dans les oreilles tous les jours, pour continuer de traiter son otite. »
Pépito restera sans doute de longues années encore dans l'association, d'autant que Marcel se méfie des adoptions, ayant vu trop de chats pris pour les faire souffrir. L'association a besoin de sachets pour le nourrir.
Marcel et Evelyne : Une vie au service des animaux !
Marcel se lève à l'aube chaque jour pour nourrir les chats de sa ville « on est obligé de le faire en cachette, parce que certaines personnes nous volaient les croquettes ou venaient enlever les animaux pour leur faire du mal quand ils repéraient nos zones de nourrissage. Mais je ne sais pas si l'année prochaine on pourra encore continuer. Financièrement, c'est un gouffre, on dépense plus de 600 € rien qu'en sachets par mois et on ne reçoit aucune subvention. J'ai peur que l'on doive arrêter. Je me demande alors ce que deviendront tous ces chats. »