SOS! In Bosnia, Maya will soon be out of kibble to feed the 45 dogs in her shelter: they are going to starve!
432 pouches
of meat offered
432 pouches
of meat necessary
Attention ! Si cette collecte échoue, les donateurs seront remboursés et l'association ne recevra rien.
Bébé était en train de se noyer quand Marcel l'a trouvée !
À cause d'un problème neurologique, Bébé est incapable de se mouvoir normalement... Le monde extérieur est dangereux pour elle !
Même se rapprocher de sa nourriture est compliqué pour Bébé...
Rien qu'en sachets, l'association dépense 600 € chaque mois, sans votre aide Marcel et Evelyne ne savent pas comment continuer à nourrir les chats des rues et ceux qu'ils hébergent.
Ne les laissons pas tomber !
Bébé est un chat sauvé des eaux. Marcel, le président de l'association, se souvient de la première fois qu'il l'a aperçue « On l'a trouvée dans l'eau. Elle avait juste la tête qui dépassait. On a heureusement réussi à la repêcher mais on s'est vite rendu compte qu'elle avait d'autres soucis. »
Suite aux examens réalisés par le vétérinaire, Marcel a appris que Bébé souffrait de handicap neurologique « elle ne peut pas se déplacer normalement. Elle avance de travers, tombe, se cogne... Tout est compliqué pour Bébé. »
Le vétérinaire a estimé que, malgré ses problèmes, Bébé ne souffrait pas. Marcel en prend donc soin du mieux qu'il peut « elle reste dans la cour, elle ne sort pas se promener, parce qu'elle pourrait trop rapidement se mettre en danger dehors. On la surveille. Le moindre déplacement est compliqué pour elle. Même pour venir se nourrir, ce n'est pas évident. »
L'association a investi beaucoup d'argent pour les soins vétérinaires de Bébé, et pour voir comment il était possible de l'aider. Aujourd'hui, ils ont besoin d'aide pour payer ses sachets de nourriture.
Marcel et Evelyne : Une vie au service des animaux !
Marcel se lève à l'aube chaque jour pour nourrir les chats de sa ville « on est obligé de le faire en cachette, parce que certaines personnes nous volaient les croquettes ou venaient enlever les animaux pour leur faire du mal quand ils repéraient nos zones de nourrissage.
Mais je ne sais pas si l'année prochaine on pourra encore continuer. Financièrement, c'est un gouffre, on dépense plus de 600 € rien qu'en sachets par mois et on ne reçoit aucune subvention. J'ai peur que l'on doive arrêter. Je me demande alors ce que deviendront tous ces chats. »