Poor Granita is blind and has a deformed jaw!
336 pouches
of meat offered
336 pouches
of meat necessary
Pour éviter de mourir d’une surinfection, Mali-Blue a dû être amputé de la queue.
Il est extrêmement maigre, et est encore très faible après son opération : il a besoin d’une nourriture riche pour s’en sortir !
L’association n’a pas suffisamment d’argent pour acheter les sachets de nourriture nécessaires : elle a besoin de nous !
Arrivé à l’association à la mi-octobre, Mali-Blue a été sauvé de la mort de justesse. « Ce chat des rues d’environ 2 ans portait plusieurs graves blessures à la queue, sans doute provoquées par les morsures d’autres chats. Le tout n’était vraiment pas beau et menaçait de virer à l’infection généralisée. C’est une voisine qui l’a conduit chez le vétérinaire, qui nous a immédiatement contactés », se souvient Clotilde, la présidente de l’association.
La seule solution pour le sauver était une amputation de la totalité de la queue. « La cicatrice est très près de l’anus, mais Mali-Blue est pour le moment sauvé de l’infection et parvient à déféquer normalement… En revanche, comme l’opération était très lourde, sa castration a été reportée. Et vu son état de maigreur, il est pour le moment exclu de le stériliser », commente la présidente.
« Il nous faut de la pâtée pour le remettre sur pied au plus vite, mais tous les frais sont à notre charge, et c’est très dur de tout assumer pour notre association, qui démarre juste et doit encore se faire connaître », reconnaît Clotilde avec inquiétude.
Il faudrait plus de 500 sachets de pâtée chaque mois !
L’association Les Chats du Cœur Brestois s’occupe de chats libres, mais aussi de chatons ou de félins convalescents comme Mali-Blue ayant besoin de nourriture humide quotidiennement. « Cela va donc très vite : avec un sachet de nourriture par chat et par jour, on arrive à plus de 500 sachets sur le mois ! C’est un budget énorme. »
Pour une association qui démarre tout juste, il est souvent difficile de parvenir à l’équilibre sans la contribution financière des bénévoles. « Je ne sais pas comment nous pourrons nous en sortir sur le long terme sans aide extérieure », avoue Clotilde, préoccupée.