Ne laissons pas ces 175 chiens mourir de faim !

1. Au Maroc, Hind n'a presque plus de croquettes pour nourrir les chiens des rues, qui sont plus d'une centaine à dépendre d'elle. Ils vont mourir de faim si personne ne les aide !

"Le nombre de chiens dans la rue a augmenté en flèche, il y a quelques mois de ça je prenais en charge à peu près 40 chiens, aujourd’hui nous sommes à plus de 100 chiens. Ceci est dû à une vague d'abandons dans la région, la plupart des chiens abandonnés sont des chiens malades, parfois les gens n'en veulent tout simplement plus.

Notre refuge ne peut pas accueillir tous ces chiens, surtout en cette période où la crise sanitaire nous a impacté et nous impacte toujours en matière d'aide, de dons, de financement, mais aussi moralement. Je fais de mon mieux pour les nourrir et les protéger, mais nous sommes vraiment dans le besoin de croquettes. Il ne me reste que 5 sacs, c'est totalement impossible pour moi d'en racheter.

Je suis inquiète et dégoûtée de cette situation, je me sens impuissante, je vois tous ces problèmes et je suis incapable de les résoudre. Mais je continue à faire de mon mieux pour aider ces animaux autant que possible. Sans notre aide, l'aide des gens qui aiment les animaux, ces chiens vont vivre une misère sans croquettes : s’il vous plaît aidez nous et aidez ces chiens !"

2. Atteint d'une forme sévère de gale récidivante, Massaoud est extrêmement fragilisé, il ne parviendra pas à s'en sortir sans croquettes.

"Massaoud est à la rue depuis plus de 2 ans. Il est atteint d'une gale très étendue qui ne cesse de récidiver, malgré tous les traitements et les injections que je lui donne. 

La gale affecte beaucoup son système immunitaire et le rend très fragile, il risque d'attraper des infections ou maladies supplémentaires à cause du manque de croquettes, et de contaminer les autres chiens errants.

Près de 90% des chiens de la région a attrapé la gale, c'est le cas de la plupart des chiens des rues dont je m'occupe. Je traite ce que je peux car le nombre de chiens est énorme, l'alimentation est cruciale pour que le traitement de ceux déjà atteint fonctionne, et pour éviter au maximum que les autres soient contaminés à leur tour."

3. Hind accueille également 75 chiens dans ses refuges, eux aussi seront privés de croquettes dans quelques jours si elle ne reçoit pas d'aide.

"Je prends en charge 75 chiens à l'heure qu'il est entre le refuge et ma ferme. Leur situation est bien meilleure que celle des chiens des rues car on limite leur nombre, dès qu'un chien attrape la gale on l'isole, sinon on ne peut pas s'en sortir.

Malgré tous nos efforts, le nombre de chiens et le manque de moyen sont tels que l'association a été obligée de suspendre momentanément toutes ses activités fin Juillet. Tous les secteurs sans exception agonisent à cause de la crise ici, et notre refuge aussi, puisqu’il était majoritairement financé par les dons. Actuellement, la situation est très critique.

Les chiens sont devenus plus fragiles et sensibles à toute infection, et plus agressifs: ils se battent tout le temps, et cherchent à dominer. Nous avons besoin d’aide pour pouvoir continuer notre action, protéger et aider ces chiens. Je souhaite de tout mon cœur que des personnes au grand cœur voient la souffrance que nous vivons et nous viennent en aide."

4. Retrouvé squelettique et rongé par la gale, Pégase n'est âgé que de 9 mois. Il a absolument besoin de croquettes pour lutter contre la maladie.

"Pégase est un jeune chien de 9 mois, qui a été retrouvé squelettique, avec une gale étendue sur tout le corps, qui a également contaminé son frère. Nous l'avons isolé dans un box au refuge, où nous le soignons depuis plus de 3 mois.

Son état risque fort de s'aggraver avec le manque de croquettes, Pégase est déjà très agité et ne pourra pas supporter une telle situation."

5. Privée de l'essentiel des dons qui faisaient subsister l'association, Hind porte tout à bout de bras depuis des mois. Surendettée et dépassée par les besoins, elle ne peut plus acheter de croquettes.

"L’endettement est devenu notre moyen de financement, nous avons pris le risque de nous endetter pour pouvoir avancer, et continuer nos actions depuis le début de la crise, mais nous nous sommes retrouvés dans un cercle vicieux, c'est une situation qui ne peut plus être maintenue.

J’ai énormément de dettes auprès du vétérinaire, de l’animalerie, les gardiens du refuge attendent encore le reste de leur salaire que je n'ai pas pu leur verser complètement le dernier mois... Beaucoup de dépenses sont associées au refuge, non seulement les croquettes et les soins vétérinaires, mais aussi le véhicule qui nous permet de faire les sauvetages, l'assurance, l'essence, les réparations, tous les frais ici et là. C'est pour ça qu'on a du suspendre nos activités fin juillet, et ça risque de devenir définitif si on ne trouve pas de solution pour se sortir de là."

6. Hind ne demande pas à recevoir d'argent, simplement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"Notre refuge est le premier centre de convalescence au Maroc qui répond aux recommandations de l'OMS et qui vise à éradiquer la rage et à contrôler la surpopulation canine. Il sert aussi à accueillir des chiens qui seront capturés, stérilisés, vaccinés puis relâchés dans la région, pour protéger le territoire sans représenter aucun danger pour la population. Parce que si leur territoire reste vide, d'autres chiens, bien souvent non stérilisés ni vaccinés, s'y installent inexorablement. 

C'est vraiment essentiel pour faire avancer la condition animale, tant que mon association est là, elle protège ces chiens et défend leur cause, dans un cadre où les gens ne sont pas nécessairement habitués à s'occuper gentiment des animaux, et où beaucoup n'aiment pas les chiens. Les nourrir et les soigner s'avère crucial pour que la population accepte ces chiens.

Cela me fera énormément de peine si je ne peux plus venir en aide aux chiens errants et en détresse."

7. Si cette récolte réussit, Hind ne recevra pas d'argent, mais 2200 kg de croquettes livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction au Maroc.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique au Maroc, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

8. Les appels aux dons ne fonctionnent pas, les collaborations et partenariats sont au point mort à cause de la reprise du Covid-19. Hind a désespérément besoin de cette récolte.

"Tout est très compliqué, nous avons une nouvelle vague de Covid au Maroc, avec de nouvelles restrictions de déplacement, tout cela contrarie beaucoup les démarches pour collaborer avec d'autres associations.

De façon générale les dons sont en baisse, les restaurants ne peuvent toujours pas nous donner leurs restes de nourriture comme ils le faisaient avant. Les cagnottes que j'ai lancé ne fonctionnent pas, les participations que je reçois se comptent sur les doigts de la main, alors que la page de l'association compte plus de 49000 abonnés... Cette récolte est notre plus grand espoir !"

9. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment.

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

10. Au Maroc, les donateurs sont rares, et il n'y a ni fondations, ni subventions… Il est très difficile de trouver des financements pour des croquettes, beaucoup de chiens restent mourir de faim dans la rue !

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Hind, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plait venez en aide aux chiens d'Hind, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge d'Hind pour l'aider ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Hind via Facebook. (Note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité.)

10. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.