Ne laissons pas les chiens des rues et de ce refuge connaître la famine !

1. Au Maroc, Valérie n'aura bientôt plus de croquettes pour nourrir les 120 chiens des rues dont elle s'occupe. Ils vont mourir de faim si personne ne fait rien ! 

"Le nombre de chiens dans les rues a beaucoup augmenté ces derniers temps car les communes où nous nourrissons les chiens ont temporairement arrêté les abattages, sans pour autant pratiquer de stérilisations. Comme il n'y a pas de touristes à cause de la fermeture des frontières, les restaurants sont fermés, et les chiens ne trouvent donc pas de nourriture, ils dépendent de nous pour manger.

Le problème, c'est que nous sommes financièrement dans une situation critique… Explosion des naissances, maladies, accidents, et manque de moyens pour les nourrir, les soigner, les stériliser. La pandémie a drastiquement réduit les dons en plus d’aggraver le problème de la surpopulation canine : c’est un cercle sans fin qui nous empêche de sauver d'avantage de chiens !

Je ressens une très grande lassitude, je suis épuisée et j'ai toujours l’impression de me battre seule. Aujourd'hui je n'ai que 3 jours de stock de croquettes, j'ai peur que les chiens des rues ne meurent si je ne leur apporte plus de quoi manger !"

2. Le bassin fracturé de Sofia l'a beaucoup affaiblie, elle a besoin de croquettes pour survivre dans la rue !

"Sofia a été abandonnée à l'âge d'un mois seulement, comme beaucoup de femelles. Elle traînait sur le bord de la route lorsqu'elle a été percutée par une voiture. Son bassin a été fracturé, elle arrive toujours à se déplacer mais elle doit malgré tout sautiller...

Je m'arrange pour qu'elle reste au souk et qu'elle ne retourne pas sur les routes pour qu'il ne lui arrive plus rien. Vu son handicap, elle ne peut se battre pour sa nourriture quotidienne, il lui faut son apport de croquettes grâce à nos tournées pour rester en vie !"

3. Au refuge de Valérie, 18 chiens rescapés de la rue et d'abandons sont aussi menacés par le manque de croquettes !

"Comme j'accueille majoritairement des chiens handicapés ou malades au refuge, ils ont besoin de manger d'avantage que des chiens dits en 'bonne santé'. Malheureusement, je suis obligée de les rationner régulièrement, ma situation financière me l'impose... Ces chiens ont beaucoup souffert lorsqu'ils vivaient dans la rue. Je les recueillis, soignés et je leur ai donné tout l'amour dont ils avaient besoin.

Si je ne suis plus capable de les nourrir ils risquent d'attraper des maladies, certains même risquent de ne pas survivre avec l'estomac vide ! J’ai peur de ne plus avoir la force et les moyens de continuer… Malgré tout, je garde espoir, je ne pourrais pas les abandonner surtout après tout ce qu'ils ont subit. Cette récolte est notre seul espoir !"

4. Malade et blessée, Aviron aura besoin de croquettes pour survivre...

"Aviron est une chienne que nous nourrissions depuis longtemps dans la rue. Elle parvenait à s'en sortir malgré sa démarche chaloupée due à un grave accident dans sa jeunesse. Récemment, nous l’avons retrouvée à nouveau sur le bord de la route, percutée par une voiture... Elle était très maigre, affaiblie, porteuse de la gale et prostrée dans un coin.

Elle s’est bien remise grâce à nos soins, mais je préfère la garder sous surveillance au refuge pour qu'il ne lui arrive pas d'autre accident qui risquerait de la tuer... Il est important qu’elle ait un apport de nourriture régulier et de bonne qualité. Il n’y a que dans un refuge avec des croquettes qu’elle peut avoir cela, et sans la réussite de cette récolte je ne sais pas ce qu'il lui arrivera..."

5. A cause de la pandémie, Valérie ne reçoit plus de dons et a épuisé ses ressources personnelles : elle n'a plus les moyens d'acheter des croquettes !

"Toutes nos difficultés sont liées à la pandémie : les frontières du Maroc sont fermées jusqu'au 31 janvier, l’économie est totalement paralysée, il n'y a plus de tourisme, pas de restaurant, pas de dons... Le problème de la gestion de la population canine passe au second plan face à cette crise mondiale, ce que je peux comprendre, mais en attendant nous sommes au plus mal.

Comme les dons diminuent de façon exponentielle, j'ai épuisé mes ressources personnelles, et j'ai dû m'endetter auprès des fournisseurs de croquettes ! Je n'arrive pas à voir le bout de la pandémie, le retour à la normale me semble de plus en plus inenvisageable, alors que notre refuge ne fonctionne qu'avec les dons..."

6. Valérie ne demande pas à recevoir d'argent, simplement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"Depuis mon arrivée à Essaouira en 2005, je me suis tout de suite impliquée dans la protection des chiens des rues. Le Maroc est un pays où la rage est encore présente, et la population locale vit avec cette crainte d'être mordue et de contracter la maladie. De plus, dans le monde rural, un chien doit se battre pour trouver sa nourriture, ce qui engendre des bagarres…

Le fait de nourrir les chiens errants nous permet de les sociabiliser et de créer des liens avec eux, en plus de rassurer la population. Malheureusement les changements de mentalité prennent du temps, et nous devons continuer à nous battre contre la maltraitance de ces chiens qui reste beaucoup trop présente.

Quand je vois le regard et la réaction de certaines personnes du village envers les animaux errants, je suis fière d’avoir participé à ce changement !"

7. Si cette récolte réussit, Valérie ne recevra pas d'argent mais 3000 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction au Maroc.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique au Maroc, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

8. Appels Facebook, démarchages d'ONG, sensibilisation de la population… Valérie multiplie les actions pour obtenir de l'aide, mais les besoins sont trop grands : il faut que cette récolte réussisse !

"Avant la pandémie, les donations que nous recevions et les restes de nourriture que proposaient les restaurants suffisaient à nourrir les chiens. Aujourd'hui, nos appels à l'aide restent sans réponse, les collectes ne fonctionnent pas, et nos économies sont à sec... Aucune autre ONG ou association ne nous aide à obtenir des croquettes, vous êtes les seuls !"

9. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment.

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

10. Au Maroc, les donateurs sont rares, et il n'y a ni Fondations, ni subventions... Il est très difficile de trouver des financements pour des croquettes, beaucoup de chiens restent mourir de faim dans la rue ! 

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Valérie, invitez-là à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plait venez en aide aux chiens soutenus par l'association, contactez-nous nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge de Valérie, ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque contactez la via la page de l'association sur Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

11. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.