Ne laissons pas ces 119 chiens mourir de faim !

1. En Serbie, Gorica va bientôt manquer de croquettes pour nourrir les 119 chiens de son refuge. Ils vont mourir de faim si personne n'intervient !

"Me procurer des croquettes est un vrai casse tête quotidien, en ce moment, je dois m'organiser au jour le jour pour en acheter avec mes propres moyens. Comme il y a eu des températures négatives récemment, j'ai aussi du me procurer de la paille, des niches, des couvertures... De plus, en hiver, les chiens doivent manger davantage pour conserver leur température corporelle et survivre au froid : mis bout à bout cela représente beaucoup de dépenses...

Les chiens ne mangent pas suffisamment au refuge, malheureusement je n'ai pas les moyens de racheter des croquettes. J'essaie de ne pas réduire leur portions quotidiennes, mais je suis obligée de le faire. Aujourd'hui, je n'ai plus que quelques jours de croquettes, après cela je n'ai pas encore trouvé de solution pour nourrir mes 119 chiens !

Je me sens souvent mal et impuissante, car lorsqu'il n'y a pas assez de croquettes, les chiens deviennent nerveux et ont tendance à se battre entre eux. Les croquettes sont nécessaires aux chiens que ce soit pour leur état de santé ou pour leur cohabitation au sein des boxes !"

2. Le nombre de chiens accueillis au refuge a explosé : le manque de croquettes empêche Gorica de tous les nourrir, si aucune solution n'est trouvée, ils sont en danger !

"Je trouve beaucoup de chiens abandonnés dans la région, tous les jours il y en a de nouveaux ! Dans la rue, les chiens vivent un enfer, la plupart des habitants ne veulent pas s'occuper d'eux. Le pire c'est que je vois régulièrement des habitants écraser les chiens volontairement, les frapper, les empoisonner...

C'est la raison pour laquelle j'accueille les chiens ici au refuge, pour qu'ils ne vivent plus ces violences ! Malheureusement, cela implique de nourrir de plus en plus de chiens, j'ai d'ailleurs déjà du réduire la quantité de croquettes que je leur donne parce que je n'en avais pas assez pour tous.

Avant la pandémie, un groupe Autrichien nous aidait beaucoup pour faire adopter les chiens à l'étranger. Le problème c'est que depuis le Covid les frontières ont fermé et cela a beaucoup compliqué les voyages des chiens vers de nouvelles familles. L'équilibre du refuge est donc perturbé, il n'y a plus de chiens qui en sortent, uniquement des chiens qui y entrent... Nous recevons autant de dons qu'auparavant mais pour un plus grand nombre de chiens, alors je ne peux pas tous les nourrir correctement, ils vont tomber malade ou mourir de froid !"

3. A cause du manque de croquettes, Desa doit se battre avec ses congénères pour manger !

"J'ai trouvé Desa dans la rue il y a deux ans alors qu'elle n'était encore qu'un chiot. Elle était si petite, fragile et effrayée. J'ai consacré beaucoup de temps à prendre soin d'elle, mais malgré tout l'amour que je lui porte elle reste très peureuse. Elle n'est pas agressive et se laisse faire, alors les autres chiens l'attaquent souvent lorsqu'elle essaie de manger, et comme elle ne veut pas se battre pour des croquettes, elle abandonne et s'en va...

C'est essentiel que j'ai suffisamment de croquettes au refuge, pour que les autres chiens mangent suffisamment et qu'ils n'essaient pas de lui prendre sa ration ! Comme elle ne mange déjà pas assez, elle sera en danger si cette récolte ne fonctionnait pas..."

4. Gorica se démène pour les chiens de la région, mais elle manque cruellement de ressources et de soutien. Elle ne peut plus acheter de croquettes !

"Je finance toutes les dépenses du refuge avec ma maigre pension. Je n'ai clairement pas les moyens de tout gérer seule, surtout depuis que le nombre de chiens dans le besoin a explosé ! Depuis la pandémie, les croquettes sont devenues plus chères, et les dons que je reçois ne compensent pas le manque de trésorerie de l'association...

Ma voisine est la seule bénévole qui vient m'aider, elle vient selon les besoins et en fonction de son temps libre. Je suis donc majoritairement seule au refuge à m'occuper des chiens, j'y suis du matin au soir ! Je les nourris, les lave, les emmène chez le vétérinaire, je fais presque tout le travail moi-même et ce n'est pas facile pour moi.

Les conditions de vie au refuge sont mauvaises, il y a beaucoup de boue dans la cour et cela a tendance à agacer les chiens qui deviennent plus agressifs. Malheureusement je n'ai pas les moyens de faire des travaux.... J'ai déjà dépensé toutes mes économies pour répondre aux besoins des chiens, sans la réussite de cette récolte de croquettes, je ne sais pas ce qu'il adviendra des chiens !"

5. Gorica ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"Mon engagement envers les animaux est total. Je ressens une grande tristesse et une grande déception lorsque je vois comment les gens traitent les chiens et les chats dans la rue. De là est né mon désir de les aider et j'ai donc fondé ce refuge.

Ma plus grande crainte est de ne pas pouvoir financer les besoins des chiens, notamment les croquettes. J'ai peur d'être obligée de les libérer dans la rue si la situation ne s'améliore pas... Cela ne devrait pas arriver car je fais de mon mieux pour aider les chiens autant que je le peux, je garde espoir ! 

Je m'inquiète tout de même de voir qu'il y a de plus en plus d'animaux dans la rue. Ce nombre ne diminue pas. Je ne peux pas aider tous les chiens autant que je le voudrais. Je suis malgré tout très fière de moi d'avoir déjà sauvé beaucoup de chiens, ils vivent mieux au sein du refuge que s'ils étaient restés dans la rue !"

6. Si cette récolte réussit, Gorica ne recevra pas d'argent mais 2000 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction en Serbie.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Gorica doit gérer le refuge sans soutien : à bout de forces, elle a besoin de cette récolte de croquettes pour sauver les chiens d'une mort certaine !

"Il n'y a aucune organisation internationale ou Serbe qui fait des dons à mon refuge, il n'y a que des particuliers qui aident occasionnellement avec des petits dons. J'ai beau avoir contacté des associations à l'étranger, je n'ai jamais eu de réponse, cette récolte est clairement mon seul espoir d'avoir des croquettes, croyez-moi, je ne sais vraiment plus vers qui d'autre me tourner.

Chaque don que je reçois est dépensé pour les croquettes : c'est une nécessité pour la survie des chiens ! Le problème c'est que je reçois trop peu d'aide, et ma pension est trop maigre pour tous les nourrir. Je dois avouer qu'avec mon grand âge, je ne suis pas très douée pour les nouvelles technologies et je n'arrive pas à m'en servir. De toute façon, je ne sais pas comment je pourrais trouver le temps car je suis avec les chiens toute la journée !"

8. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment.

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés. 

9. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'Etat et ignorés par la population, les bénévoles comme Gorica sont leur seul espoir !

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Gorica, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plait venez en aide aux chiens de Gorica contactez-nous nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge de Gorica pour les aider ou que vous voulez leur envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Gorica via la page Facebook de l'association (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

10. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.