Ne laissons pas ces 118 chiens mourir de faim !

1. En Serbie, Sladja n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 118 chiens de son refuge, ils risquent de mourir de faim si personne n'intervient ! 

"Lorsque les chiens de mon refuge ne mangent pas suffisamment de croquettes, ils deviennent agressifs et finissent par se battre entre eux ! Malheureusement, comme il ne me reste que quelques jours de croquettes en stock, et je n'ai pas trouvé d'autre solution que de les rationner : une situation qui, à moyen terme, pourrait leur coûter la vie...

Je vais donc devoir aller me procurer des croquettes avec mon propre argent. Seulement voilà : comme je n'ai que très peu de moyens, je vais acheter des croquettes de premier prix... Le problème, c'est que la dernière fois que j'ai acheté ce type de croquettes, les chiens ont eu de violentes diarrhées et vomissements qui les avaient fortement affaiblis. Il est vital pour mes chiens de manger des croquettes de bonne qualité !

Avant le début de la guerre en Ukraine, ma petite retraite me permettait d'acheter des croquettes, de mauvaise qualité certes, mais au moins les chiens n'avaient pas le ventre vide... Depuis le début du conflit en Ukraine, les prix ont tellement augmenté que je ne suis même plus capable de leur acheter quoi que ce soit pour les nourrir ! J'ai peur que les prix ne continuent d'augmenter, j'ai peur de ne plus pouvoir les nourrir, que certains ne meurent par manque de croquettes : je les aime tant, ils font partie de ma famille, cette récolte de croquettes est ma dernière chance de les sauver..."

2. Grâce à son refuge, Sladja est la seule à sauver les chiens errants de la région, mais sans croquettes pour les nourrir, ils sont condamnés à mourir dans la rue...

"Le nombre de chiens errants en détresse augmente chaque jour. Comme je manque de croquettes au refuge, ils sont nombreux à devoir continuer à errer dans les rues. Pourtant, leur situation est terrible, la population ne les accepte pas et fait tout son possible pour s'en débarrasser, souvent de manière très barbare ! Affamés, malades, blessés ou bien maltraités, ils ont très peu de chance de survivre sans mon aide.

Stériliser, vacciner, nourrir et accueillir les chiens des rues au refuge est la seule solution pour les sauver et leur donner une chance d'être adoptés, mais avec un stock de croquettes proche de zéro, je suis devenue complètement impuissante... 

Je ne bénéficie d'aucun soutien de la municipalité, de donateurs ou d'autres associations pour nourrir les chiens des rues, je ne peux compter que sur moi-même et ma maigre retraite. J'ai le coeur brisé, j'aimerai plus que tout être de nouveau capable de sauver ces pauvres animaux de ce destin tragique, mais pour cela, j'ai besoin que cette récolte de croquettes réussisse..."

3. Bruno garde des séquelles de sa vie passée dans la rue : il est si fragile qu'un manque de croquettes pourrait lui être fatal !

"Bruno, comme beaucoup de chiens vivants dans la rue, était dans un état désastreux lorsque je l'ai trouvé... Son corps était couvert de tiques et autres parasites le rendant extrêmement fragile. Le manque de nourriture l'empêchant de combattre les infections, il était donc vital qu'il se fasse soigner immédiatement... 

Aujourd'hui, grâce à des traitements médicamenteux et à la vie au refuge, il est enfin guéri ! Malheureusement, son triste passé lui aura laissé des traces : il ne survivra pas à un nouvel épisode de famine, il risque d'en mourir !"

4. La guerre en Ukraine a entraîné une flambée des prix : la maigre retraite de Sladja ne lui suffit plus à acheter des croquettes !

"En Serbie, la population vit très mal, les gens survivent à peine, et la pandémie du Covid 19 nous a encore plus appauvri... Auparavant, il était déjà très difficile d'obtenir de l'aide des locaux car les animaux ne sont culturellement pas une priorité, mais depuis le Corona Virus et la guerre en Ukraine, c'est devenu clairement impossible ! Ce désintérêt de la population serbe à l'égard des animaux est un réel frein à mes actions : je ne reçois aucune aide, ni de la municipalité, ni des particuliers... 

Je suis d'autant plus limitée financièrement que je suis déjà endettée auprès du vétérinaire, et avec toutes les dépenses que j'ai tous les mois au refuge en plus de l'achat des croquettes, il m'est aujourd'hui impossible de les rembourser ! L'augmentation des prix dus à la guerre en Ukraine ne fait qu'empirer la situation : cette récolte de croquettes est mon seul espoir , je ne pourrais pas regarder les chiens mourir de faim..."

5. Sladja ne demande pas à recevoir d'argent, simplement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"Mon dévouement et mon amour pour ce que je fais me viennent de mon père qui a toujours pris soin des animaux dans le besoin. Grâce à lui et à tout ce qu'il m'a appris, j'ai fondé l'association P.U.Ž. en 2012. Au départ, j'ai loué un terrain à titre privé et j'ai commencé à héberger des chiens abandonnés que je nourrissais régulièrement dans la rue.

Depuis, j'ai sauvé plus de 350 chiens sans aucune aide extérieure ! J'ai construit un lieu humain où séjournent actuellement 118 chiens qui ont tous été identifiés, vaccinés, stérilisés et n'attendent plus que d'être adoptés par une famille aimante. J'ai sacrifié toute ma vie aux chiens et à ce refuge, je ne cesserai jamais de me battre pour eux !"

6. Si cette récolte réussit, Sladja ne recevra pas d'argent mais 2000 kg de croquettes livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction en Serbie.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. L'absence de dons et de subventions à son association freine considérablement les actions de Sladja : elle est seule à se battre pour la survie des chiens des rues !

"Malgré mes nombreuses tentatives, je n'ai pas réussi à créer des partenariats avec des associations étrangères : il y a tant de refuges dans le besoin que toutes les organisations de protection animale sont dépassées... Je me retrouve donc seule à devoir tout gérer et tout payer avec ma retraite.

Récemment j'ai reçu une petite aide de mes amis de l'association Orka en Allemagne, mais malheureusement ils n'ont pas non plus les moyens d'acheter suffisamment de croquettes pour tous mes chiens... La seule aide sur laquelle je peux vraiment compter, c'est celle d'Animal Webaction, je ne sais pas ce que mes chiens deviendraient sans leur communauté... 

Moi vivante, jamais je n'abandonnerai, je continuerai à me sacrifier pour les chiens dans le besoins, ces êtres sans défense ne méritent pas leur sort ! Aujourd'hui, je souhaite plus que tout que cette récolte de croquettes réussisse, car elle me permettrai de sauver la vie de centaines de chiens, aucun être vivant ne peut survivre sans manger !"

8. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment.

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés. 

9. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'État et ignorés par la population, les bénévoles comme Sladja sont leur seul espoir !

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Sladja, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plait venez en aide aux chiens de Sladja, contactez-nous nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge de Sladja pour l'aider ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque , contactez Sladja via la page de l'association sur Facebook (Note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité.)

10. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.