Ne laissons pas ces 150 chiens mourir de faim !

1. En Bosnie, Benjamin n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 150 chiens de son refuge. Ils vont mourir de faim si personne ne les aide !

"Comme tous les ans à cette période, il y a un vrai problème avec les tiques : les premières chaleurs leur permettent de se multiplier et de transmettre des infections et des maladies aux chiens du refuge ! Le problème, c'est qu'en parallèle, tous les chiens des rues qui ont été abandonnés sans avoir été stérilisés se reproduisent : je fais donc face à une recrudescence du nombre de chiens dans le besoin, qui, sans croquettes, ne survivront pas aux maladies...

J'ai toujours réussi à éviter le rationnement de la nourriture. En revanche, je suis financièrement obligé de réduire la qualité des croquettes... Ces derniers temps j'achetais même les croquettes les moins chères, celles qui contiennent le moins de nutriments, et qui malheureusement peuvent causer des diarrhées et des vomissement. Pour éviter cela, je les mélange avec du riz, du pain, des pâtes, des restant de poulet : ce régime est mauvais pour la santé des chiens, je dois absolument éviter que cette situation ne continue trop longtemps !

Aujourd'hui, je n'ai plus qu'un jour de croquettes en stock, je m'arrangerai donc pour trouver du pain ou d'autres aliments avec mon propre argent en attendant de trouver une meilleure solution. Chaque matin, la première chose qui me vient à l'esprit est de savoir comment je vais pouvoir nourrir les chiens. C'est rare que j'ai assez de croquettes pour un mois, vraiment rare... Je me sens triste et nerveux, cette situation m'inquiète beaucoup !"

2. Au refuge, les adoptions sont à l'arrêt depuis la pandémie, tandis que les chiens continuent d'affluer de toutes parts : Benjamin n'a plus les moyens d'acheter des croquettes pour autant de chiens !

"Lorsque le refuge a ouvert ses portes il y a deux ans, il accueillait alors 50 chiens. Depuis la pandémie, comme les adoptions vers l'Europe se font de plus en plus rares, les chiens restent plus longtemps au refuge. Aujourd'hui, le refuge a atteint sa capacité maximale avec 150 chiens qu'il faut nourrir tous les jours ! Je pourrais tout à fait laisser les chiens vivre dans la rue, mais ils vivent dans de si mauvaises conditions que cela me brise le coeur... Au refuge, ils reçoivent de l'amour, de l'attention, ils sont soignés et ont une chance d'être adoptés. Les laisser agoniser dans la rue n'est pas une option, ils n'ont pas mérité cette vie de misère...

Au refuge, nous recevons des appels quotidiens du gouvernement local, de la population, des services publics comme la police et les écoles, tout le monde nous appelle pour nous prévenir d'un nouveau chien dans le besoin afin que je vienne le sauver. A tout cela vient s'ajouter le fait qu'en Bosnie, les stérilisations ne sont pas prises en charges par l'Etat, les chiens continuent de se reproduire et ce, malgré nos efforts et nos campagnes de stérilisations à nos propres frais... Nous sommes le seul refuge déclaré dans la région, il y a quelques personnes qui s'occupent des chiens abandonnés, mais les bénévoles de mon association et moi sommes dédiés au refuge 24h/24, 365 jours par an.

Depuis le début de la guerre en Ukraine, il devient encore plus difficile de gérer le refuge : il y a plus de chiens abandonnés qui ont besoin d'aide pour manger, et les prix des matières premières ne font qu'augmenter. Dernièrement j'ai remarqué que le prix des croquettes avait augmenté de 50%, quant aux médicaments, eux aussi deviennent de moins en moins accessibles... Si cette récolte échoue, je ne sais pas comment nous allons réussir à nourrir nos 150 chiens, nous avons un besoin urgent de croquettes !"

3. Le pauvre Aky doit subir une opération très lourde : il n'y survivra pas sans croquettes...

"Aky est un chien que je voyais souvent passer dans les rues à la recherche de nourriture. Un jour, je ne l'ai plu vu... Les habitants du village m'ont alors informé qu'ils l'avaient vu près d'un lac, gravement blessé... Lorsque je l'ai retrouvé il avait la patte dans un très mauvais état, il avait probablement été violemment heurté par une voiture.

Même si Aky va mieux aujourd'hui, le vétérinaire recommande vivement qu'il subisse une opération : casser de nouveau sa patte, et y insérer des pièces métalliques pour lui permettre de continuer à marcher dessus... Aky se remet à peine de son traumatisme, il aura besoin de reprendre des forces si nous voulons un jour lui payer cette opération et qu'il puisse en guérir... Cette récolte de croquettes doit réussir si nous voulons continuer à prendre soin d'Aky !"

4. Benjamin se sacrifie pour les chiens, mais la pandémie et la guerre en Ukraine ont tellement affaiblis les finances de l'association qu'il n'a plus les moyens d'acheter des croquettes...

"Nous recevons une aide régulière de la Mairie mais malheureusement celle ci est une goutte d'eau dans le budget que représente la gestion d'un refuge accueillant 150 chiens. Heureusement, nous avons de très bons amis à l'étranger qui font leur maximum et nous envoient des dons lorsqu'ils peuvent se le permettre. Chaque aide est la bienvenue ! Le problème c'est que nous n'en recevons pas suffisamment, et cela devient de plus en plus difficile de s'en procurer, surtout depuis la pandémie, et maintenant la guerre en Ukraine...

Nous publions donc régulièrement des appels à l'aide sur nos réseaux sociaux, mais peu importe l'aide que nous recevons il ne s'agit jamais de personnes habitants en Bosnie : ici, les gens vivent mal, ils ont des difficultés à nourrir leur propre famille, alors je comprends tout à fait que la cause animale ne soit pas leur priorité...

Au début de la pandémie, l'un de nos bénévoles a commencé à fabriquer des masques et tous les bénéfices ont été reversés au refuge. Au mois de juin, tous les bénévoles et moi même allons vendre nos affaires personnelles afin de récolter des dons pour nourrir les chiens. Nous organisons régulièrement ce type d'événement, mais ce n'est pas suffisant pour se procurer assez de croquettes..."

5. Benjamin ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"Je suis investi dans la cause animale depuis toujours ! J'ai construit ce refuge pour m'occuper des chiens en détresse, puis un jour, le gouvernement local m'a contacté pour me demander si j'accepterai d'agrandir mon terrain et devenir un refuge pour les animaux errants de la ville... C'est comme cela que tout a commencé.

Il y a trois ans, les gens ne laissaient pas leurs enfants jouer dans les parcs et ils les accompagnaient à l'école parce qu'ils avaient peur des chiens errants. Depuis la création de l'association, nous avons réussi à changer les mentalités, les locaux sont plus apaisés car nous nous occupons de ces chiens. Aujourd'hui, on peut voir des enfants jouer dans les rues parce qu'il n'y a pas de chiens dangereux, je pense que nous faisons réellement une grande différence.

Il est important d'impliquer tout le monde dans le problème de la prolifération des chiens des rues. J'essaie de faire mon maximum pour susciter l'empathie de la communauté locale pour qu'elle commence à aider à la collecte de croquettes : si nous parvenons à convaincre les gens, notre travail sera beaucoup plus facile et les chiens seraient sains et saufs !"

6. Si cette récolte réussit, Benjamin ne recevra pas d'argent, mais 2400 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction en Bosnie.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique en  Bosnie qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les rares soutiens de l'association ont fait leur maximum et les nombreux appels à l'aide de Benjamin restent sans réponse : cette récolte de croquettes est leur dernier espoir...

"Nous n'avons aucune sorte de partenariat avec une quelconque organisation dans le pays ou à l'étranger ! Nous avons contacté beaucoup d'associations, ici en Bosnie et ailleurs, mais toutes ces organisations nous rejettent poliment, car elles soutiennent déjà beaucoup d'autres refuges dans le besoin... N'importe quel type de don est le bienvenu, car nous n'arrivons plus à nous en sortir seuls.

Lorsque nous manquons de nourriture ou que nous avons besoin d'un traitement médical pour un chien malade, nous publions un appel à l'aide sur notre page Facebook. Tous ces dons sont de petits montants, ils proviennent de particuliers, car il n'y a pas d'organisation qui soit prêtes à nous aider avec un montant plus significatif... J'espère que cette récolte de croquettes va réussir, et nous serons remarqués par une association importante qui pourra nous venir en aide !"

8. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment.

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

9. En Bosnie, les chiens errants sont torturés et tués illégalement dans l'indifférence générale...

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Benjamin, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît venez en aide aux chiens de l'association New Hope Nova Nada, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge de Benjamin pour l'aider, ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez-le via la page Facebook de l'association (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

10. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties