Ne laissons pas les chats des rues du Maroc mourir de faim !

1. Au Maroc, Corinne n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 500 chats des rues dont elle a la charge... Ils vont mourir de faim si personne n'intervient ! 

"Ici à cause du Covid, beaucoup de personnes se sont retrouvées dans l'impossibilité de nourrir et soigner leurs animaux à cause de la précarité financière qu'elles subissaient. Les abandons de chats et chatons ont explosé depuis le début de la crise et la situation est malheureusement toujours d'actualité...

Je m'occupe actuellement de 500 chats dans Essaouira et quartiers alentours avec l'aide de bénévoles et leur nombre ne fait qu'augmenter, malgré nos efforts constants de stérilisation. Il a de plus en plus de chats à nourrir, de plus en plus de croquettes à donner mais parallèlement, de moins en moins de personnes en mesure de faire des dons.

Nous sommes incapables d'établir un stock de croquettes pérenne, nous achetons au compte goutte et sommes obligés de rationner les portions depuis plusieurs mois. Les chats ne mangent pas assez, ils sont fragilisés et vivant dans la rue, ils sont confrontés à bien des dangers au quotidien : accidents, empoisonnements, maladies... Nous pleurons tous les jours sur le sort de ces pauvres animaux, nous pensons toujours voir le pire, et le pire arrive toujours… Nous sommes tous fatigués et personnellement je me sens angoissée parce que j'ai l'impression que la situation s'enlise... L'avenir des chats dépend de cette récolte !"

2. Rico est fragilisé par un coryza récidivant, il a besoin de croquettes pour ne pas rechuter !

"Rico est un mâle de 3 ans, il vit dans la rue et est affecté par un coryza récidivant. Aujourd'hui il va mieux mais sa santé reste fragile et qui plus est, il est vulnérable aux dangers constants de la rue. Malgré sa vie d'errance, Rico est habitué à être nourri par la main de l'homme, il dépend complètement de nous et si nous ne pouvons plus le nourrir, il mourra de faim ou développera d'autres problèmes de santé..."

3. Corinne accueille également 250 chats très fragiles au sein de son refuge, eux aussi menacés par le manque de croquettes.

"J'ai de plus en plus de chats à ma charge au refuge, on m’appelle constamment pour me donner des animaux, je suis en quelque sorte le dispensaire d’Essaouira ! La plupart des chats que j'accueille au refuge sont handicapés ou malades, je dois les soigner et m'occuper de l'approvisionnement en croquettes seule. 

J'ai actuellement 250 chats à ma charge, je vous laisse imaginer les ressources financières et matérielles que cela représente... Je ne relâche jamais mes efforts mais j'ai grand peine à collecter des dons. J’ai été obligée de baisser la quantité et la qualité des croquettes pour les chats. 

Je dois faire des choix difficiles : reporter des soins, des stérilisations… Tout cela à cause du manque de moyens ! La situation actuelle va de mal en pis et cela m'effraie, j'ai peur pour l'avenir de mes chats et de mon refuge..."

4. Lourdement handicappé, Skippy dépend de Corinne pour s'alimenter.

"Skippy est un mâle de 4 ans environ, un jour j'ai vu une publication et j’ai décidé de le prendre au refuge. Avec son handicap,  il n'aurait pas pu survivre bien longtemps dans la rue... Aujourd'hui il s'épanouit, c'est un chat adorable et très sociable avec les humains et les autres chats. Mais comme beaucoup d'autres, sa survie dépend entièrement de moi ! Son handicap l'empêche de se débrouiller seul et un retour à la rue est inenvisageable pour lui. Il a besoin de moi pour survivre et cela passe bien entendu par ma capacité à le nourrir..."

5. La baisse drastique des dons compromet les actions de Corinne et l'empêche d'acheter des croquettes pour les chats !

"Tout le monde à Essaouira m'encourage dans mes actions mais quand il s'agit de m'aider c'est une autre histoire; très peu de gens s'impliquent en réalité. Ici les mentalités n'évoluent pas rapidement et les autorités marocaines ne font rien pour régler le problème des chats errants non plus.

90% de mes aides viennent de l'étranger mais vu la conjoncture économique actuelle, je reçois de moins en moins de dons ! Quand on a des dons, tout va bien : on peut permette aux chats des rues et du refuge de mieux vivre et on peut aussi utiliser l’argent des croquettes non achetées sur les stérilisations et les soins. Mais sans dons suffisants, ce sont toutes nos actions qui sont impactées et toute une population de chats qui souffre ! 

Je fais de mon mieux pour trouver des solutions mais si la situation continue, j'ai peur de ne plus pouvoir accueillir de chats au refuge et de ne plus pouvoir subvenir aux besoin des chats des rues non plus.Toute aide est la bienvenue pour nous permettre d'éviter ce scénario catastrophe..."

6. Corinne ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chats ne meurent de faim.

"Cela fait 10 ans que je suis au Maroc, j’étais d’abord dans le sud où j’étais bénévole au refuge du Cœur sur la Patte. En 2016 j'ai pris la décision de venir dans la campagne d’Essaouira, c'est là que j'ai établi mon refuge. J'ai actuellement plus de 200 chats sous mon toit, sans compter ceux des rues dont je m'occupe également avec l'aide de bénévoles que je surnomme affectueusement mes "parrains" et "marraines" de quartier.

Je suis fière de leur avoir appris à soigner les chats des rues, et je suis fière d'œuvrer avec eux dans un but commun, l'amélioration du bien-être animal au Maroc, à notre échelle. Le programme de stérilisation que je mène avec l'aide d'une fondation Suisse nous permet d'ailleurs de stériliser 500 chats par an, c'est une grande avancée ! Malgré tout, il reste encore beaucoup à faire pour changer les mentalités et que les chats vivent ici en harmonie avec les humains. J'espère vivre assez longtemps pour voir ce rêve se réaliser..."

7. Si cette récolte réussit, Corinne ne recevra pas d'argent mais 1400 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction au Maroc.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique au Maroc, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

8. Les prises en charges sont incessantes et les soutiens de Corinne ont déjà fait leur maximum pour aider, elle nous demande d'intervenir.

"Au niveau local je suis très connue pour mes actions, mais on me contacte uniquement pour des prises en charge, jamais pour m'aider ! Je rêve qu’un jour le Maroc prenne enfin en main les animaux de son pays, mais ce n'est qu'un rêve...

A l'international, j'ai le soutien de donateurs privés et d'une fondation en Suisse qui m'aide à financer des stérilisations. Malheureusement tout le monde est dans la même situation, les gens sont impactés financièrement et peuvent plus donner autant qu'avant. Nous avons besoin d’espoir et de soutien… S'il vous plait, n'oubliez pas les animaux du Maroc !"

9. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment.

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

10. Au Maroc, les donateurs sont rares, et il n'y a ni Fondations, ni subventions... Il est très difficile de trouver des financements pour des croquettes, beaucoup de chats restent mourir de faim dans la rue ! 

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Corinne, invitez-là à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plait venez en aide aux chats soutenus par l'association, contactez-nous nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge de Corinne, ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque contactez la via sa page Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

11. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.