Ne laissons pas les chiens des rues dont Danijela s’occupe et ceux de son refuge mourir de faim !

1. En Serbie, Danijela n'a bientôt plus de croquettes pour nourrir les 75 chiens de son refuge. Ils vont mourir de faim si personne ne les aide !

"C'est la période la plus difficile depuis la pandémie, au refuge... Il y a actuellement 75 chiens et leur nombre ne cesse d'augmenter ! Je n'avais jamais vu un taux d'abandon aussi important auparavant : beaucoup de chiens sont jetés dehors par des gens qui finissent par les considérer comme des fardeaux !

A ce stade, le refuge a atteint sa capacité maximale, alors c'est difficile de subvenir à tous les besoins des chiens, même si je fais de mon mieux... La situation économique en Serbie a entraîné une baisse des dons et il m'est très difficile de couvrir toutes les dépenses, notamment les soins vétérinaires et les croquettes : avec des prix en constante augmentation, nourrir les chiens est devenu une incertitude quotidienne !

Chaque jour, la quantité de croquettes que j'arrive à obtenir est épuisée et doit être rationnée pour les nourrir tous, et c'est la moins chère du marché ! Son manque de qualité fait que beaucoup de chiens souffrent de diarrhées, de maladies, de perte de poids... J'ai besoin que cette récolte réussisse pour que je puisse dormir tranquillement la nuit, en sachant que mes chiens ont assez à manger, sans que cela ait un impact sur leur santé..."

2. Beba a un cancer : le succès de sa chimiothérapie et sa survie même dépendent de cette livraison de croquettes !

"Beba a 5 ans et je l'ai sauvée alors qu'elle était très jeune : elle avait été grièvement blessée à la tête avec un objet tranchant ! Bien qu'elle se soit complètement remise de cette blessure, on lui a malheureusement récemment diagnostiqué un cancer : le vétérinaire a découvert qu'elle avait une tumeur maligne... Elle doit bientôt subir une chimiothérapie et je m'inquiète beaucoup !

Malgré son état de santé actuel, Beba parvient toujours à garder son esprit joyeux, bien qu'un peu timide... Il est crucial pour moi de lui fournir des croquettes de qualité pendant cette période, car cela l'aiderait à maintenir un bon système immunitaire pour supporter le processus de traitement. Sans croquettes, la chimiothérapie serait inutile, et elle risquerait de perdre la vie !"

3. Danijela s'occupe également de 25 chiens des rues : eux aussi sont menacés par le manque de croquettes !

"Je m'occupe de plus de 25 chiens des rues, situés dans deux zones différentes : une meute se trouve dans un des quartiers de la ville et l'autre près de la décharge... Il est difficile de ne pas être émue par leur triste situation : ils luttent pour trouver de la nourriture, vivent dans le froid, dans la neige, sous la pluie... Il y a une crise grandissante quant au bien-être animal en Serbie : pendant les confinements, de nombreuses personnes ont acheté ou adopté des chiens par ennui ou par solitude, pour les abandonner massivement dans les rues une fois la pandémie passée ! Et de nombreux animaux errants sont maltraités ou tués... Seules quelques personnes se soucient de ces chiens.

La faim met ces chiens en danger, les poussant à chercher n'importe quoi de malsain ou de dangereux à manger dans les poubelles... Alors je fais de mon mieux pour les protéger tous, mais sans beaucoup de ressources, je ne peux les nourrir qu'une fois par jour, avec des croquettes bon marché ou du pain... Ils ne mangent pas assez en cette saison difficile et ça me fait mal au cœur ! Mais je ne sais jamais quelle quantité de croquettes je peux obtenir jour après jour : avec l'inflation et la raréfaction des dons, la quantité que j'arrive à acheter ne peut que diminuer un peu plus à chaque fois. J'ai peur d'être complètement incapable de me procurer des croquettes ! Si cette récolte échoue, ce sera un cauchemar : leur immunité est déjà très basse et si je ne peux plus les nourrir, les maladies et la famine les attendent..."

4. Les petites Rita et Lola ont été abandonnées dans une boîte : elles sont bien trop fragiles pour survivre sans croquettes !

"Rita et Lola sont deux sœurs récemment arrivées dans le quartier : quelqu'un avait laissé une boîte avec une portée de 5 chiots dedans, parmi la meute de chiens des rues. Malheureusement, je ne sais pas ce que sont devenus les 3 autres chiots, ils ont disparu... Rita et Lola sont les seules qui restent. Elles sont si vulnérables, elles ont besoin de tout le soutien possible pendant cette étape cruciale de leur vie !

Je m'occupe d'elles dans un abri de fortune ; c'est le mieux que je puisse leur offrir, car je ne peux malheureusement pas les emmener dans mon refuge. La vie dans la rue est un environnement dangereux pour de si jeunes chiennes, leurs chances de survie sont très incertaines et elles seraient même inexistantes si personne ne s'occupait d'elles...

Elles sont encore en pleine croissance, leur système immunitaire n'est pas encore développé, elles ont donc besoin d'une bonne alimentation pour prendre du poids, rester fortes et en bonne santé pendant leur croissance ! J'espère qu'elles pourront bientôt trouver un foyer chaleureux et aimant, mais en attendant, elles ont juste besoin de moi et de cette livraison pour survivre et passer l'hiver sans problèmes de santé..."

5. Danijela est confrontée à des dettes et à une baisse des dons : elle est à court de solutions et cette récolte est sa dernière option pour nourrir les chiens !

"J'ai des dettes énormes à la clinique vétérinaire ! Ce n'est qu'une des nombreuses dépenses auxquelles je dois faire face pour garder les chiens en bonne santé. Le contexte économique n'aide pas, avec la crise qui touche les besoins de base des gens, ils n'ont pas d'argent supplémentaire à donner, et c'est encore plus difficile depuis la pandémie... Je reçois de moins en moins de dons.

Mes dernières tentatives de collecte de fonds n'ont pas été fructueuses non plus, je suis donc assez pessimiste quant aux prochaines tentatives... Je suis reconnaissante pour le soutien que je reçois de 2 organisations françaises, qui m'aident à collecter des fonds, mais même avec leur aide, j'ai toujours du mal à acheter des croquettes pour tous les chiens dont je m'occupe... Ils sont également touchés par la conjoncture !

J'ai eu de l'aide d'une entreprise, il y a quelques mois, qui m'a permis de rembourser certaines de mes dettes vétérinaires, mais ce sont des événements très occasionnels (et fortuits)... Je n'ai pas de soutien régulier pour m'aider à nourrir les chiens et en ce moment, j'ai l'impression de n'avoir personne vers qui me tourner... Je ne vois pas d'autres options pour obtenir des croquettes que cette récolte..."

6. Danijela ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"Je consacre ma vie au sauvetage de chiens vulnérables dans la rue. J'ai fondé l'association en 2013 après avoir réalisé que ces chiens avaient peu de chances de survie sans aide... Depuis que la pandémie a frappé, le taux d'abandon a grimpé en flèche, ce qui rend mon travail encore plus difficile... L'année dernière s'est avérée être l'une des pires à tous les égards ! Le faible taux d'adoption a un impact sur ma capacité à prendre soin des chiens : Je ne peux pas en sauver de nouveaux si aucun chien du refuge n'est adopté ! Les seules personnes qui appellent sont à la recherche de chiens de chasse, de chiens de garde ou de bergers... Je sais ce que cela signifie pour les chiens et je ne veux pas de ce genre d'existence pour mes chiens !

Mais l'ironie du sort veut qu'il vaut mieux que les chiens soient dans la rue que dans les fourrières locales : la plupart d'entre elles sont des endroits cruels, horribles et violents pour les chiens... C'est une réalité déchirante ! Même s'il n'est jamais facile de voir des vidéos de maltraitance animale (dans les fourrières locales, dans les rues...), c'est indispensable pour sensibiliser les gens au sort funeste réservé à ces chiens ! Je suis heureuse que davantage de personnes prennent conscience de la cruauté envers les animaux et me suivent sur les réseaux sociaux... Mon travail est important, mais je ne peux pas le faire seule. J'appelle les gens à ne pas fermer les yeux sur la cruauté envers les animaux et j'espère vraiment qu'il ya aura du changement."

7. Si cette récolte réussit, Danijela ne recevra pas d'argent mais 1600 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction en Serbie.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

8. Les soutiens de Danijela ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour l'aider : elle a désespérément besoin de cette livraison de croquettes pour nourrir les chiens dont elle s'occupe !

"Je reçois l'aide de deux organisations concernant les soins vétérinaires, les adoptions, les collectes de fonds ou les dons... Elles font de leur mieux en publiant mes besoins sur leurs réseaux sociaux pour essayer de récolter des fonds, mais elles ne peuvent pas faire plus car toutes les organisations sont touchées par le ralentissement de l'économie. Leur aide est donc limitée mais reste absolument inestimable pour les chiens dont je m'occupe...

J'entends souvent des choses comme "Oh elle aide les chiens alors qu'il y a tant d'enfants affamés ?"... Mais nous, les sauveteurs d'animaux, aidons des êtres innocents... Nous serions les premiers à aider les enfants ! C'est une triste comparaison... En plus, un chien c'est un être qui ressent des émotions, tout comme les humains... Alors quand on voit un être innocent en détresse, comment peut-on avoir un cœur et ne pas l'aider, si on le peut...?

Je continue mes actions en faveur des chiens car, si je ne le faisais pas, la situation serait catastrophique : les rues seraient remplies de chiens et beaucoup ne survivraient pas ! Je me suis débrouillée tant bien que mal pendant toutes ces années, mais je ne peux pas m'en sortir seule, c'est trop dur... J'ai besoin de toute l'aide possible pour continuer à sauver et à nourrir les chiens !"

9. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés. 

10. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'Etat et ignorés par la population, les bénévoles comme Danijela sont leur seul espoir.

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Danijela, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens de Danijela, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge pour aider ou que vous voulez envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Danijela sur Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

11. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.