Ne laissons pas les chats des rues dont Kawthar s’occupe mourir de faim !

1. Au Maroc, Kawthar n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 95 chats des rues dont elle s'occupe. Ils vont mourir de faim si personne n'intervient !

"Je m'occupe d'environ 95 chats errants dans plusieurs quartiers de Temara. Malheureusement, la population errante ne cesse de croître :  je trouve beaucoup de femelles gestantes, de chatons ou de chats malades abandonnés sur mes sites de nourrissage ces derniers temps. Le problème c'est que les gens ne stérilisent pas leurs chats, soit parce qu'ils ne sont pas capables de payer l'opération, soit parce que c'est contre leurs principes. Par contre, cela ne les dérangent pas d'abandonner le fruit de leur négligence dans les rues... Il en va de même pour les chats malades, dès lors qu'ils ne peuvent plus assurer les frais vétérinaires.

En tant que simple bénévole, les frais liés à la nourriture, aux soins et à la stérilisation de tous ces chats sont considérables ! Malheureusement, les dons individuels se font de plus en plus rares, le mois dernier, je n'en ai d'ailleurs reçu qu'un seul... À l'heure actuelle, la situation est très critique : les chats des rues mangent les croquettes les moins chères du marché, et j’ai dû diminuer les portions depuis 20 jours... Je me sens complètement impuissante. Sans cette livraison, les conséquences se feront vite ressentir : la santé des chats s'aggravera, ils nécessiteront davantage de soins, tandis que mes mains sont déjà liées par le manque de dons... Nous avons besoin de votre aide au plus vite pour éviter une hécatombe !"

2. En proie aux maladies, les chats des rues sont particulièrement vulnérables, mais Kawthar ne pourra plus rien pour eux si elle ne trouve pas de croquettes.

"Les conditions de vie des chats sur les sites de nourrissage se sont détériorées dernièrement, pour une raison très simple : je ne peux plus distribuer les quantités de croquettes nécessaires, et le peu qu’il me sont de la plus basse qualité... Ces croquettes causent des infections et des problèmes urinaires aux chats, l'un d'entre eux a d’ailleurs dû été hospitalisé très récemment !

Pour ne rien arranger,  les virus se propagent très vite au sein des colonies à cause des abandons de chats malades; particulièrement le coryza, qui fait rage. Je m’inquiète vraiment pour les chats et leur santé. Je crains qu’ils ne meurent de faim, ou qu’ils ne succombent aux maladies faute de nutrition suffisante… Les traitements sont d’ailleurs inefficaces sans une alimentation adaptée ! C’est un cercle vicieux au sens le plus strict du terme, et sans votre aide, je suis dans une impasse pour y faire face…”

3. Abandonné dans un carton, Wize souffre de la gale et d'un coryza tenace... Il ne se guérira pas sans croquettes !

"Wize est un jeune chat qui a été abandonné dans un carton, au cimetière, sans pitié... Malheureusement, il souffre du coryza et la gale, et il est également très maigre. Il ne peut pas trouver de la nourriture facilement à cet endroit, et je ne peux pas lui en apporter autant que nécessaire non plus ! Aujourd’hui sous traitement, Wize est trop faible, il ne parvient pas à surmonter son infection. Il a absolument besoin de manger plus pour pouvoir supporter son traitement, prendre du poids, et guérir !

Sans un nouveau stock de croquettes, son état pourra s’aggraver très rapidement, ses yeux pourront se surinfecter, ce qui pourrait le mener à une cécité totale... Ce serait catastrophique ! La vie dans les rues n'est déjà pas chose aisée alors s'il devient aveugle, il sera condamné..."

4. Les dons se sont taris depuis la crise, alors que les dépenses ne cessent d'augmenter. Kawthar n'a plus assez de ressources pour nourrir les chats des rues !

“J’essaye de vendre des accessoires pour payer quelques factures, mais je gagne moins de 1€ par accessoire vendu, ce n’est pas suffisant... J’arrive à peine à financer une boîte de médicaments avec le total de mes ventes ! L’association belge Stray Care International m’aide occasionnellement à acheter des croquettes et à faire des stérilisations, mais je ne suis pas la seule à dépendre de leur aide, et leur capacité à aider dépend aussi des dons reçus, qui sont en baisse globale… Les donateurs sont eux-mêmes impactés par la crise globale, ils ne font plus de dons comme avant. 

Il devient de plus en plus difficile de financer mes actions et de trouver de quoi nourrir les chats des rues. En ce moment, je n’ai presque plus aucun sac de croquettes, des factures à payer et des dettes vétérinaires qui s’accumulent… Je suis sans cesse obligée de jongler avec les priorités, j’essaye de minimiser les dépenses en reportant des opérations qui ne sont pas trop urgentes, je rationne les croquettes… Mais toutes ces actions sont comme mettre un pansement sur une jambe de bois ! Je fais de mon mieux et j’ai frappé à toutes les portes, mais j’ai l’impression que la situation s’enlise… Seule cette livraison pourra me permettre de souffler un peu et de continuer à m’occuper des chats comme ils le méritent !”

5. Kawthar ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chats ne meurent de faim.

"Enfant, je voyais déjà mes parents prendre soin des chats des rues en leur donnant à manger et à boire et en les protégeant de la pluie. L’amour des chats et des animaux a grandi en moi petit à petit ! Aider les animaux est une vocation désormais, et je ressens beaucoup de plaisir à le faire. Ceci étant dit, les situations dans lesquelles je trouve les chats qui me brisent le cœur… Et voir un chat, ou n’importe quel autre animal être victime de maltraitance me met hors de moi. 

Je dois également faire face à la résistance de certaines personnes lors de mes tournées de nourrissage. J’ai un voisin qui n’accepte pas que je nourrisse les chats du quartier sous prétexte que leur nombre va augmenter et qu’ils vont salir les rues… J’ai essayé de lui parler et de le convaincre du bien-fondé de mes actions, mais c’était peine perdue. Ce genre de situation n’est pas évident à gérer mais cela n’affecte pas ma détermination pour autant, car je pars du principe que je suis aussi là pour sensibiliser les gens à ces questions.

Si grâce à mon aide, les gens pouvaient se mettre à réaliser l’importance de la stérilisation pour arrêter la prolifération des chats, et de la vaccination pour arrêter les maladies, alors je considérerais que c’est déjà une belle victoire ! En attendant, je continue mes actions sur le terrain, car je me dis qu’il n’y a qu’en persévérant que les choses évolueront un jour…"

6. Si cette récolte réussit, Kawthar ne recevra pas d'argent mais 920 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction au Maroc.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique au Maroc, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

8. Au Maroc, les donateurs sont rares, et il n'y a ni fondations, ni subventions... Il est très difficile de trouver des financements pour des croquettes, beaucoup de chats restent mourir de faim dans la rue ! 

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Kawthar invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chats dont Kawthar s'occupe, contactez-nous nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez rencontrer Kawthar ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez-la sur Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.