Ne laissons pas les chiens des rues dont Danijela s’occupe et ceux de son refuge mourir de faim !

1. En Serbie, Danijela n'a presque plus de croquettes pour nourrir le nombre croissant de chiens des rues dont elle s'occupe. Ils vont mourir de faim si personne ne les aide ! 

"Les différentes crises de ces dernières années avaient déjà provoqué une augmentation alarmante du nombre de chiens abandonnés dans les rues, les forêts ou même les décharges. Mais aujourd'hui, avec la fermeture de la fourrière locale, c'est le chaos : la densité de chiens errants dans les rues est irréelle ! Au cours des derniers mois, les gens n'ont cessé d'abandonner leurs chiens...

Ces chiens sont pour la plupart non stérilisés lorsqu'ils sont abandonnés et maintenant que la fourrière ne fonctionne plus, il n'y a plus de campagne de stérilisation gratuite - c'est très inquiétant, il y a déjà beaucoup de chiennes gestantes et de chiots dans la nature ! En plus de ça, la cruauté et la négligence envers les animaux sont endémiques, beaucoup de gens continuent à maltraiter les errants de manière horrible et en toute impunité...

Dernièrement, je m'occupe de 45 d'entre eux et ce nombre ne va cesser d'augmenter ! Leurs conditions de vie se détériorent déjà rapidement et de moins en moins de gens ont les moyens de les nourrir et de s'en occuper. Alors que nous, on manque cruellement de soutien et de dons de nourriture... Ils ne mangent pas à leur faim et développent toutes sortes de maladies... J'ai besoin que cette récolte réussisse parce que garder ces chiens nourris et en bonne santé est le moins que je puisse faire pour eux..."

2. Au refuge, Danijela s'occupe également de 70 chiens vulnérables : eux aussi sont menacés par le manque de croquettes !

"J'ai actuellement 70 chiens à ma charge et le refuge est plein ! Les adoptions se sont ralenties et l'adoption d'un chien implique de surcroît une multitude de formalités administratives complexes. Et pour chaque chien adopté, il y a toujours un autre chien en détresse pour prendre sa place ! Nous nous sentons tellement impuissants à ne pas pouvoir aider autant de chiens que nous le voudrions... Mais nous manquons cruellement de place et de moyens pour le faire !

Le contexte économique fait que beaucoup de gens ne peuvent plus nous aider, alors se procurer des croquettes n'a jamais été aussi difficile, c'est devenu trop cher et je n'ai pas assez de dons : désormais, je ne peux nourrir les chiens qu'avec les croquettes les moins chères... Pour en économiser le plus possible, je les rationne et les mélange avec ce que je peux dégoter comme restes. Mais ce n'est pas sain du tout et les chiens ne mangent pas assez : ils perdent du poids, ont des diarrhées et tombent malades. Le manque de croquettes est de loin le pire problème, car ça affecte directement l'immunité des chiens et ils deviennent plus nerveux... Nos chiens les plus fragiles ne s'en sortiront pas si la récolte échoue !"

3. Lola vient de subir une lourde opération... Elle est aveugle et les privations qu'elle a subies dans la rue ont laissé des traces : elle ne survira pas au manque de croquettes.

"Lola revient de très loin... Lorsque je l'avais récupérée dans la rue, elle ne pesait que 20 kg (sachant que son poids de forme est autour de 60 kg, cela en dit long sur son état d'extrême maigreur et de dénutrition...). Elle était très affaiblie, malade et la peau infestée par le demodex. Ses paupières étaient gravement infectées et nous avons dû la faire opérer des yeux à plusieurs reprises. Malgré ces soins, elle est aveugle et garde des séquelles de ses infections et privations...

Même si son état s'est amélioré depuis son sauvetage, elle est très vulnérable et de surcroît, elle a récemment survécu in extremis d'une torsion d'estomac... Elle a été opérée en urgence et pour assurer sa convalescence au mieux, elle doit impérativement manger suffisamment de croquettes de qualité pour reprendre des forces, guérir correctement et pour ne surtout pas perdre de poids... Ce serait bien trop dangereux pour sa santé si je ne peux plus lui donner de croquettes, je crains pour sa survie..."

4. Les dettes se multiplient et les dons se font de plus en plus rares... La seule option qu'il reste à Danijela pour nourrir les chiens, c'est cette récolte.

"Les dettes nous accablent et ne cessent de s'accumuler, principalement pour les soins vétérinaires : nouveaux sauvetages, opérations chirurgicales, urgences - c'est un cycle perpétuel ! Nous essayons de collecter des fonds pour les cas les plus urgents, mais les gens ont du mal à nous aider. Nous manquons tellement de ressources que nous devons désespérément demander de l'aide pour couvrir les dépenses de base, mais vitales, comme les traitements antiparasitaires et les croquettes...

Nos appels aux dons ne reçoivent que de maigres contreparties et ce sont toujours les mêmes personnes, étrangers et amis, qui nous aident du mieux qu'ils peuvent... Lorsque nous parvenons à collecter de l'argent pour de la nourriture ou des croquettes, c'est toujours en trop petite quantité pour que nous puissions disposer d'un stock pérenne. Et les croquettes ne sont qu'une chose vitale parmi tant d'autres qui sont aussi nécessaires quand on gère un refuge...

Nous avons deux organisations françaises qui nous aident beaucoup en ce qui concerne les adoptions et les coûts associés... Sinon, la seule nouvelle coopération que nous avons est avec des compagnies publiques pour des dons d'eau, mais c'est loin d'être suffisant pour gérer un refuge de plus de 70 chiens ! Nous n'avons plus d'options ; cette récolte est notre dernier espoir de garder nos chiens sains et saufs !

5. Danijela ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"Il y a dix ans, j'ai sauvé mon premier chien et j'ai vite réalisé à quel point il fallait venir en aide aux chiens gravement blessés. C'est ce qui m'a amenée à créer une association. Aujourd'hui, avec la fermeture de la fourrière municipale et les abandons quotidiens de chiens, notre travail de sauvetage est plus crucial que jamais. La situation est déjà chaotique, mais si je n'intervenais pas, elle serait encore pire pour tant de chiens... 

J'aimerais avoir plus de ressources et d'espace pour en sauver encore plus... Ces chiens dont je m'occupe sont devenus comme ma famille. Certains sont là depuis des années, ils attendent désespérément le jour où ils seront adoptés ! La plupart du temps, je travaille seule au refuge - mais j'ai de la chance, j'ai deux amies formidables et mon frère qui m'aident parfois, quand ils le peuvent. 

Beaucoup pensent qu'un refuge consiste à caresser des chiens toute la journée, mais c'est bien plus que cela : surveiller leur santé, leur comportement, nettoyer, faire des visites chez le vétérinaire, essayer de leur trouver un foyer... C'est un travail 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et c'est si dur de trouver des gens prêts à s'impliquer dans la protection des animaux, ici... Rien ni personne ne me fera jamais renoncer à ces chiens. C'est ma vie maintenant, et tant que la situation des chiens en Serbie sera aussi mauvaise, j'en aiderai autant que je le pourrai !"

6. Si cette récolte réussit, Danijela ne recevra pas d'argent mais 1600 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction en Serbie.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les appels aux dons et levées de fonds mobilisent peu et les soutiens de l'association ont déjà tout fait : cette récolte ne doit pas échouer !

"Deux organisations françaises, Les Gloutons-garous et Une médaille à ton collier, sont d'une grande aide pour l'association... Elles font la promotion de nos chiens à l'adoption, communiquent sur les besoins du refuge et prennent en charge certains frais médicaux lorsqu'elles en ont les moyens. Pourtant, malgré leurs efforts, ce n'est pas suffisant.

J'utilise Facebook pour appeler à l'aide et aux dons, qu'il s'agisse de collecter des fonds pour les soins vétérinaires, les traitements ou les croquettes... Cela fait un moment que cela ne porte pas ses fruits. Beaucoup de ceux qui nous aidaient auparavant sont eux-mêmes en difficulté ou sont déjà engagés à aider d'autres associations et ne peuvent pas toutes les aider.

Il y a tellement de chiens qui souffrent en Serbie, et il n'y a que quelques organisations qui peuvent les aider, c'est vraiment difficile de construire de nouveaux partenariats dans ce contexte... Malgré nos demandes auprès de la municipalité, nous n'avons jamais reçu de réponses positives. Nous manquons de tout et c'est pourquoi nous comptons vraiment sur le succès de cette récolte, nos chiens ont plus que jamais besoin du soutien des gens..."

8. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés. 

9. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'Etat et ignorés par la population, les bénévoles comme Danijela sont leur seul espoir.

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Danijela, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens de Danijela, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge pour aider ou que vous voulez envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Danijela sur Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

10. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.