Ne laissons pas les 120 chats des rues dont s'occupe Najat mourir de faim !

1. Au Maroc, Najat n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 120 chats des rues dont elle s'occupe. Ils vont mourir de faim si personne n'intervient !

“Je prends en charge 120 chats dans la région d'Agdal et ses environs. Ces derniers temps, le nombre de chats a drastiquement augmenté car plusieurs chatons sont nés dans la rue et je trouve aussi beaucoup de chatons abandonnés. C'est d'autant plus terrible que ce sont généralement les chatons ou les chats les plus fragiles, malades ou souffrant d’infections qui sont abandonnés. Cela non seulement ajoute à ma charge pour pouvoir les nourrir et les soigner, mais augmente également le risque de contamination de la population errante saine. C’est un cercle vicieux…

A l'heure actuelle, les dons sont quasi inexistants. Avec un grand nombre de chats à prendre en charge et un grand manque de moyens, j’ai déjà commencé à réduire les rations pour pouvoir les nourrir tous. Depuis le 10 août, je rationne les croquettes et je ne leur en distribue qu’une fois par jour. Ils ne mangent vraiment pas assez. Et il ne me reste qu'un sac de 20 kg qui durera 3 jours maximum… Je suis triste de les voir affamés et je me sens terriblement coupable de ne pas pouvoir aider tous ces chats innocents comme il se doit…”

2. Déjà en proie aux maladies et aux bagarres, la situation des chats des rues se dégrade de jour en jour en l'absence de croquettes !

“Les chats des rues dont je m'occupe souffrent terriblement de la faim et de la soif, et les fortes températures ne font qu'aggraver leur état. Ils se cachent sous les voitures pendant la journée et ne sortent que très tôt le matin ou tard le soir pour éviter la chaleur. Les bagarres ont augmenté à cause du manque de croquettes, et j'ai remarqué que certains chats ont maigri. J’ai très peur car je sais que si ce régime forcé perdure, cela aura de graves conséquences sur leur état de santé…

Cela me brise le cœur de voir les chats se battre parce qu'ils n'ont rien à manger, je me sens complètement désemparée face à cette situation; je ne vois pas de solution. Je n'ai pas les moyens d'acheter des croquettes et je ne peux pas non plus diminuer la fréquence des repas, car les rations sont déjà réduites au maximum… J'ai vraiment besoin de soutien pour pouvoir continuer. Chaque sac de croquettes que j’obtiens est une bouffée d’oxygène pour ces chats; et le seul réconfort sur lequel ils peuvent compter…”

3. Oreo a la gale, il est très affaibli et a besoin de croquettes de toute urgence pour espérer guérir !

“Oreo est un mâle d’environ 4 ans, je l’ai trouvé un jour sur l’un de mes sites de nourrissage. Actuellement, il est atteint de gale, ce qui le rend extrêmement vulnérable. Il nécessite un traitement mais il est tellement peureux que je n’arrive pas à l’attraper pour l’emmener chez le vétérinaire.  Il m'est impossible d'établir un lien de confiance avec lui sans croquettes… Son immunité est déjà tellement affaiblie, je crains qu’il n’attrape des infections ou d’autres maladies si je ne trouve pas de croquettes rapidement. Je suis profondément triste de voir Oreo et les autres chats que je prends en charge souffrir ainsi… Cette situation ne peut pas durer !”

4. Najat subit la baisse des dons et l'inflation de plein fouet, elle est endettée et ne peut plus acheter de croquettes pour les chats qui comptent sur elle ! 

“A chaque fois que je sors nourrir les chats des rues, je suis accueillie par des regards affamés et implorants. Il y a eu une époque où j'arrivais à leur donner assez à manger mais aujourd'hui, mis à part quelques amis qui tendent une main secourable de temps à autre, je ne reçois plus vraiment de dons. L'inflation n'a pas arrangé la situation. Le coût des croquettes a grimpé en flèche et mon porte-monnaie ne suit pas ! Je me retrouve dans l'obligation de réduire les rations et la situation avec le vétérinaire n'est guère meilleure.

Je tiens tant à leur santé, mais chaque visite est devenue une épreuve. Avant, je n'hésitais pas une seconde à emmener un chat malade chez le vétérinaire. Aujourd'hui, chaque décision est marquée par la peur : la peur de ne pas trouver de donateur, la peur de ne pas pouvoir payer… Malheureusement, j'ai accumulé des dettes, non seulement chez le vétérinaire mais aussi à l'animalerie.

La dure réalité est que je n'ai plus les ressources pour acheter des croquettes. Le désespoir que je ressens chaque jour en voyant les chats des rues dépendre de ma capacité à les nourrir et à les soigner, est accablant. Leur bien-être est mon combat quotidien mais leur situation devient de plus en plus dure et précaire… Animal Webaction est désormais ma seule bouée de sauvetage pour me procurer des croquettes !”

5. Najat ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chats des rues ne meurent de faim.

“J’ai une connexion toute particulière avec les animaux depuis ma plus tendre enfance. Dès que je croise un animal malade, c'est comme si une connexion se créait instantanément. Je ressens leur souffrance au plus profond de mon être. Je me donne à fond chaque jour pour nourrir les chats des rues, les soigner et les stériliser. La stérilisation est cruciale pour contrôler la prolifération des chats errants et limiter les naissances indésirables. Parallèlement, j'essaie d'éduquer la population, de leur faire comprendre à quel point il est essentiel de changer leurs comportements vis-à-vis de ces êtres vulnérables.

Les groupes Facebook de protection animale sont un espace où je peux chercher de l'aide et partager mes expériences. La solidarité y est palpable : je vois de plus en plus de gens publier des photos de chats en détresse, cherchant à mobiliser la communauté pour leur venir en aide. C'est encourageant. Mais à l'extérieur du monde virtuel, la réalité est bien différente. Les soutiens dans la vraie vie sont rares et nombreux sont ceux qui continuent d'abandonner leurs chats, refusant obstinément de les stériliser... 

Ce décalage entre le monde en ligne et la réalité du terrain n’est pas évident à gérer. Le manque de moyens est une lutte de tous les instants, il y a tant de bouches à nourrir ! Je garde espoir, mais certains jours l'impuissance prend le dessus, et je souffre de ne pas pouvoir aider chaque chat comme je le voudrais…”

6. Si cette récolte réussit, Najat ne recevra pas d'argent mais 1200 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction au Maroc.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique au Maroc, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

8. Au Maroc, les donateurs sont rares, et il n'y a ni fondations, ni subventions… Il est très difficile de trouver des financements pour des croquettes, beaucoup de chats restent mourir de faim dans la rue !

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Najat, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chats de Najat, contactez-nous nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez aider Najat à nourrir les chats de son quartier ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Najat via Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.