Ne laissons pas les chiens des rues dont Danijela s’occupe et ceux de son refuge mourir de faim !

1. En Serbie, Danijela n'a presque plus de croquettes pour nourrir les dizaines de chiens dont elle s’occupe dans son refuge et dans la rue. Ils mourront de faim si personne n’intervient !

“Dans trois jours, le peu de croquettes que nous avons se terminera. Les chiens mangent déjà des rations réduites, et la qualité... ça me fait mal de le dire, mais elle n'est pas bonne. Certains d'entre eux montrent déjà des signes d'affaiblissement, des diarrhées. Chaque fois que je les nourris, je me demande combien de temps ils pourront encore tenir comme ça… Et cela vaut pour les chiens du refuge comme pour ceux des rues, dont je m’occupe par dizaines !

La hausse récente du coût des croquettes nous a mis à genoux financièrement. Auparavant, notre mission était claire : sauver les chiens des rues, les nourrir, les soigner, les stériliser et leur offrir une vie digne. Mais aujourd'hui, les croquettes sont devenues un obstacle insurmontable. Face à cette réalité, je ne peux même plus accueillir de nouveaux chiens; comment pourrais-je les nourrir ?

Chaque fois que je pense aux jours à venir, cette image me hante : des gamelles vides, et des chiens me regardant avec espoir, attendant une nourriture qui ne vient pas. J'espère que cette récolte pourra changer les choses pour eux. Elle est mon seul espoir de renouveler le stock de croquettes et de les nourrir..."

2. Affaiblis par le manque de croquettes, de nombreux chiens sont menacés par des maladies : leur état se dégradera rapidement si cette récolte échoue.

“Si je ne parviens pas à obtenir des croquettes, je crains que les chiens ne développent rapidement des carences, les laissant vulnérables à toutes sortes de maladies. Leur immunité est déjà affaiblie et dans ce contexte, leur capacité à lutter contre les parasites et virus externes n'est plus aussi efficace. Par ailleurs, je peux déjà voir que certains d'entre eux deviennent agressifs. La tension monte et il y a des moments où j'entends des grognements... La peur d'une bagarre imminente me tourmente. Une petite blessure, qui aurait pu guérir rapidement, pourrait aussi s'infecter et s'aggraver s'ils ne renforcent pas leur immunité !

Les chiens des rues sont encore plus vulnérables. Sans ces croquettes, ils pourraient être tentés de manger des déchets, ingérant des substances toxiques, voire mortelles. Certains pourraient s'éloigner de leurs territoires familiers en quête de nourriture, s'exposant à des risques accrus d'accidents. Chaque minute qui passe, je sens leur survie menacée. Je veux tant leur offrir le meilleur, et cette impuissance face à leur situation est une épreuve insupportable pour moi…”

3. Les dons sont en chute libre et les dettes s'accumulent : Danijela se retrouve dans dans une impasse pour nourrir ses chiens.

“J'ai sollicité tant d'amis et de proches pour nous aider. Leur volonté est là, mais leurs moyens sont tout aussi limités que les miens. Même mes appels réguliers sur les réseaux sociaux ne fonctionnent pas, les dons spontanés du public ayant nettement diminué. J'ai espéré un moment que des partenariats avec des fabricants de croquettes verraient le jour, mais aucune porte ne s'est ouverte.

Malheureusement le gouvernement serbe n’offre pas de programme de soutien pour notre cause. Mes lettres à des personnes influentes sont elles aussi restées sans réponse. Même mes tentatives pour obtenir davantage de parrainages pour mes chiens n'ont pas eu l'effet escompté.

Les dettes s'accumulent. Le vétérinaire attend toujours son dû, et chaque jour apporte son lot de charges impayées. J'avais envisagé de mettre en place un système d'abonnement pour les dons, mais là encore, l'adhésion a été maigre. Mon énergie est mise à rude épreuve, chaque effort, chaque démarche pour trouver des solutions semble mener à une impasse. Pourtant, ce n'est pas la pression financière qui m'effraie le plus. C'est la vision des gamelles qui se vident…”

4. Danijela ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

“La situation des chiens que je prends sous mon aile devient chaque jour plus préoccupante. Sans leur portion habituelle de croquettes, ils voient leur santé, déjà fragilisée, s'effriter encore davantage. Mes dettes chez le vétérinaire augmentent, les coûts des soins ne cessant de croître face à des chiens de plus en plus vulnérables. Le manque de croquettes me prive même de la possibilité d'accueillir de nouveaux chiens en détresse. Je me sens paralysée, incapable d'intervenir comme je l'aimerais, d'aider comme je le faisais auparavant.

Les croquettes, plus qu'un simple repas, sont le premier besoin à couvrir, avant tout autre. Elles sont irremplaçables et essentielles pour leur survie, pour maintenir leur santé et renforcer leur système immunitaire. Je me bats chaque jour pour améliorer la situation de ces chiens. Mais sans croquettes, je suis témoin impuissant de la dégradation de leur état, une situation que j'avais tant œuvré à améliorer. La viabilité de mon refuge ,ainsi que la survie des chiens sous ma responsabilité, sont aujourd'hui directement menacées..."

5. Dans un monde souvent indifférent à la détresse des animaux, Danijela a besoin de soutien pour persévérer et élargir son impact.

“Je suis témoin au quotidien de scènes que la plupart ne peuvent qu'imaginer... Les situations auxquelles je fais face dans les rues ou dans les décharges publiques, me hantent jour et nuit. Je me souvent sens seule dans ce combat que je mène pour ces chiens et je me demande d'ailleurs souvent si le monde se soucie vraiment d'eux...

Chaque chien que je parviens à sauver est une lueur d'espoir, une victoire contre l'indifférence. Et c’est un rappel que, même dans la solitude, même face à la critique, ma mission est essentielle. Ces chiens méritent plus que ce que le monde leur offre ! La gratitude dans les yeux d'un chien sauvé est ma vraie récompense, mon rappel constant de l'importance de ce que je fais; et mon unique raison de persévérer.

Peu réalisent l'ampleur de mon défi quotidien. La pression est omniprésente, mais la perspective de sauver ne serait-ce qu'un chien de plus me donne l'énergie nécessaire pour continuer. Même si le monde semble souvent indifférent, je garde espoir, car pour moi, chaque vie compte !”

6. Si cette récolte réussit, Danijela ne recevra pas d'argent mais 2000 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction en Serbie.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés. 

8. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'Etat et ignorés par la population, les bénévoles comme Danijela sont leur seul espoir.

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Danijela, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens de Danijela, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge pour aider ou que vous voulez envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Danijela sur Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.