Ne laissons pas les chiens des rues dont Danijela s’occupe et ceux de son refuge mourir de faim !

1. En Serbie, Danijela n'a presque plus de croquettes pour nourrir les dizaines de chiens dont elle s’occupe dans son refuge et dans la rue. Ils mourront de faim si personne n’intervient !

"Mes réserves de croquettes sont au plus bas, j'ai à peine de quoi tenir quelques jours supplémentaires. Cette situation m'oblige à rationner chaque portion, alors que des dizaines de chiens comptent sur moi au refuge et dans les rues ! Les rations sont maigres, je sais que cela ne suffit pas. Les chiens ne reçoivent pas la quantité nécessaire, ils restent sur leur faim. Pire encore, la qualité de ces croquettes est très médiocre, ce qui engendre une détérioration rapide de leur état de santé...

Les chiens du refuge perdent du poids et leur vigueur. Dehors, les chiens errants subissent le même sort, à la différence qu'eux doivent aussi survivre aux températures glaciales de l'hiver... Ils sont encore plus vulnérables. Ils s'affaiblissent chaque jour et tombent malades.

Cette pénurie me paralyse : je ne peux envisager d'accueillir de nouveaux chiens, sachant que ceux que je nourris déjà luttent pour leur survie ! Les derniers sacs de croquettes continuent de se vider, vite; trop vite... Cette récolte est ma seule chance de pouvoir continuer à nourrir les chiens, et de leur éviter un sort tragique !"

2. Danijela craint une montée de l'agressivité et des tensions parmi les chiens : tous ne survivront pas à une pénurie de croquettes prolongée !

"Je suis confrontée à une réalité difficile pour les chiens de mon refuge et ceux des rues à ma charge. Si je ne trouve pas de croquettes rapidement, ils risquent de perdre davantage de poids et de devenir encore plus vulnérables aux maladies. Déjà, je remarque que certains deviennent plus anxieux et peureux, une conséquence directe de leur faim...

Cette situation tendue augmente aussi les risques de conflits entre les chiens. Au refuge, les tensions montent, et dans les rues, la lutte pour la survie pourrait les pousser à former des meutes, accroissant les dangers de bagarres. Pire encore, en quête de nourriture, ils pourraient s'aventurer sur des routes dangereuses ou dans des zones à risques. L'idée de les voir fouiller dans les déchets, risquant des empoisonnements, est insupportable !

Je me sens dépassée et impuissante face à ces éventualités. Ne pas réussir à subvenir à leurs besoins est une source d'angoisse constante pour moi. Tout ce que je souhaite, c'est que les chiens puissent passer l'hiver dans des conditions acceptables et surtout, le ventre plein !"

3. Dons, parrainages et adoptions sont au plus bas : malgré ses efforts, Danijela ne parvient pas à résoudre la crise des croquettes !

"Les donateurs, préoccupés par leurs propres difficultés économiques, se font de plus en plus rares. Mes appels sur les réseaux sociaux ne trouvent plus d'écho. Même les tentatives d'instaurer des parrainages pour les chiens n'ont suscité qu'un faible intérêt. 

Les adoptions se font elles aussi rares, malgré mes efforts constants pour préparer les chiens adéquatement. Mes démarches auprès des autorités locales pour obtenir du soutien se heurtent à des murs d'indifférence, et les entreprises sollicitées pour des partenariats ont décliné, choisissant de soutenir d'autres causes. Les associations étrangères qui me soutiennent de temps à autre font également face à un manque de dons, limitant leur aide.

Cette situation est exacerbée par l'augmentation des prix des croquettes, rendant l'achat de croquettes de plus en plus difficile... Mes propres ressources, déjà tendues, ne suffisent pas. Je me sens découragée... Chaque jour est une lutte et chaque repas pour mes chiens, un luxe !"

4. Danijela ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"Le manque de croquettes perturbe gravement mon quotidien. Chaque jour, la recherche incessante de croquettes s'impose comme la priorité absolue, reléguant toutes les autres activités de l'association au second plan ! L'accueil de nouveaux chiens devient impossible et les soins, axés sur le confort et la guérison des chiens, perdent aussi en efficacité, faute de nourriture adéquate.

Ma capacité à interagir et à établir des liens durables de confiance avec les chiens est aussi impactée, car tout mon temps est monopolisé par la quête constante de croquettes. Pourtant, ces moments sont essentiels, non seulement pour le bien-être des chiens mais aussi pour les préparer à une vie future dans un foyer aimant !

La disponibilité en croquettes est le pilier central de ma mission. Sans elles, tout semble s'effondrer : l'accueil de nouveaux chiens, les soins continus pour ceux déjà sous ma garde, et la possibilité de construire un avenir meilleur pour ces êtres vulnérables. J'ai l'impression de me battre dans le vide... Sans une aide extérieure pour pallier ce manque, la survie des chiens et la continuité de mes actions pour eux s'annoncent plus qu'incertaines."

5. Portée par un amour inconditionnel envers les animaux, Danijela trouve la force de poursuivre son combat, malgré les difficultés et la solitude.

"La protection animale est un combat de tous les instants. Cette lutte, souvent invisible aux yeux des autres, me sépare progressivement de la vie sociale, car je consacre toute ma vie à améliorer celle des chiens délaissés, maltraités et abandonnés. Ce choix de vie, empreint d'isolement, est un poids que j'accepte, car le bien-être de ces animaux est ma priorité absolue.

Cependant, cette tâche est loin d'être simple. Face aux préjugés concernant les chiens abandonnés et aux cas de maltraitance que je rencontre, mon cœur se remplit d'une tristesse profonde. Ces réalités difficiles à supporter testent ma force et ma résilience quotidiennement. La douleur et la peur que je lis dans les yeux de ces chiens renforcent mon engagement, malgré le poids émotionnel que cela représente.

Mon amour inconditionnel pour ces animaux me guide à travers ces moments éprouvants. Chaque défi, chaque obstacle, renforce ma détermination à poursuivre ce combat. Cette mission, empreinte de difficultés et de sacrifices, est le reflet de mon engagement profond envers ces êtres sensibles et aimants. Je me sens parfois dépassée, mais jamais je ne cesserai de me battre pour eux !"

6. Si cette récolte réussit, Danijela ne recevra pas d'argent mais 1600 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction en Serbie.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés. 

8. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'Etat et ignorés par la population, les bénévoles comme Danijela sont leur seul espoir.

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Danijela, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens de Danijela, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge pour aider ou que vous voulez envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Danijela sur Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.