1. En Serbie, Gorica n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 142 chiens de son refuge. Ils mourront de faim si personne n'intervient !
"Le nombre de chiens dont nous avons la charge a explosé, et la plupart sont des chiots — une vingtaine, au bas mot. Les gens continuent de les déposer devant notre porte... Mais avec toutes ces arrivées, nos besoins en croquettes augmentent à un rythme qu’on ne peut plus suivre ! Et nos stocks s'épuisent trop vite...
On réduit les portions de croquettes depuis deux semaines pour faire durer ce qu’il nous reste, en rajoutant du pain pour que tout le monde ait au moins un peu à manger. On a essayé d’acheter du riz pour compléter, mais même ça, c’est devenu trop cher...
Ce qu’il reste ne suffira que pour quatre ou cinq jours, tout au plus. Les chiens sont tendus, grognent, se disputent pour quelques croquettes. L’angoisse monte, pour eux comme pour moi... Je me sens complètement démunie. Je ne sais plus comment leur offrir ce dont ils ont besoin pour traverser tout ça. L’hiver qui arrive s’annonce terrible ! Sans croquettes, je ne vois pas comment nous pourrons tenir."
2. Face à ses chiens de plus en plus nerveux, Gorica craint le pire : une escalade de la violence, et la fin de sa mission de sauvetage...
"Les chiens commencent à s’agiter. Certains sont effrayés, d’autres deviennent déjà agressifs, ils se disputent la moindre miette de nourriture. Je n’ose même pas imaginer jusqu’où cette agressivité ira si je ne trouve pas un moyen de renouveler les stocks...
Et c’est bien là tout le problème : sans croquettes pour nourrir ceux qui sont déjà là, on ne pourra pas en accueillir d’autres. On sera forcés d’arrêter les sauvetages, et même ceux qu’on a déjà recueillis risquent de souffrir davantage ! Rien que d’y penser, ça me brise le cœur.
Je me sens abattue. Tout ce que je veux, c’est qu’ils aient de quoi manger, juste ça. Tout le reste passe au second plan, moi y compris..."
3. Le refuge croule sous les dettes, les dons et adoptions s'effondrent, et les chiens manquent de croquettes....
"On traverse une période vraiment compliquée. Les dons ont beaucoup diminué, on n’a aucun soutien du gouvernement, et les dettes s’accumulent de partout : chez le vétérinaire, pour l’eau, pour tout. Ça représente des sommes énormes, et les créanciers attendent déjà depuis bien trop longtemps.
Les adoptions, elles, n’avancent pas non plus. On a réussi à placer un seul chien ces derniers temps. Un seul. Et pendant ce temps, des chiens continuent d’arriver devant notre porte, mais personne ne repart avec... Je comprends que beaucoup de gens galèrent et qu’ils n’ont pas les moyens de nourrir un animal de plus. Mais le problème, c’est que nous non plus !
Pour 35 chiots, on a réussi à récolter seulement 90 euros. Ça ne suffit même pas pour nourrir un seul chiot correctement, alors pour tous… Les prix des croquettes sont exorbitants, tout augmente. La situation devient de plus en plus intenable."
4. Gorica ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens meurent de faim.
"En 2018, j’ai ouvert ce refuge après être revenue d’Australie. Je ne pouvais plus supporter ce que je voyais ici — tant de chiens errants dans des conditions déchirantes, maltraités, luttant pour manger, pour survivre... Tout a commencé modestement. Je n’aurais jamais imaginé me retrouver avec autant de chiens sous ma responsabilité, et la réalité, c’est qu’il reste encore tellement à faire...
Les gens doivent comprendre l’importance d’une possession responsable des animaux, de la stérilisation, et du respect envers eux. C’est aussi ça, la partie difficile. Une fois que les gens savent que vous êtes là, ils vous voient comme la solution à leurs problèmes...
Malgré tout, je sais que ce refuge est important. Je fais cela pour les animaux. Ici, ils ne sont pas seuls. Ils ont un toit au-dessus de leur tête, un endroit où personne ne leur fait de mal. Et surtout, ils ont et quelqu’un qui se soucie vraiment d’eux."
5. Si cette récolte réussit, Gorica ne recevra pas d'argent mais 1600 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction en Serbie.
Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.
6. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment.
Liste des récoltes échouées
Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.
7. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'Etat et ignorés par la population, les bénévoles comme Gorica sont leur seul espoir !
Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Gorica, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.
Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plait venez en aide aux chiens de Gorica contactez-nous nous vous mettrons en relation !
Si vous souhaitez passer au refuge de Gorica pour les aider ou que vous voulez leur envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Gorica via la page Facebook de l'association (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).
8. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.
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Paiement sécurisé
Paiement 100% sécurisé https par Paypal ou carte bancaire
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Récolte vérifiée
Cette récolte a été contrôlée, Animal Webaction s'est déplacé au refuge
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Envoi de croquettes
Nous n'envoyons pas d'argent, nous vendons uniquement des croquettes.
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Suivi de livraison
Nous vous préviendrons de livraison et vous recevrez des photos
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Acheteurs satisfaits
Notre taux de satisfaction est de 98% (lire nos 757 avis sur Facebook)
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Expertise
Animal Webaction est partenaire de 1000 associations de protection des animaux dans 15 pays et existe depuis 13 ans
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Serbie
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