Victime d’un accident, Tioutiou est paralysé d’une patte arrière !
816 sachets
de viande offertes
816 sachets
de viande nécessaires
Sans votre aide, que vont manger les chats cet hiver ?
L’association O’Malley Chat d’Gouttière a été créée en janvier 2014 dans la Drôme (26), à Saint-Auban-sur-l’Ouvèze, un village d’à peine plus de 200 âmes situé à 660 mètres d’altitude. Odile et Jean-Paul, ses fondateurs, venaient déjà de passer 2 ans à prendre soin des chats errants de la commune tout en limitant leur prolifération, et c’est donc tout naturellement qu’ils ont fini par créer une association spécialement consacrée à ces actions.
Odile et Jean-Paul : les sauveurs des chats
Odile et son mari Jean-Paul, retraités tous les deux, sont les personnes les plus actives au sein de l’association O’Malley Chat d’Gouttière. Ces septuagénaires se sont bien répartis les tâches : alors que Jean-Paul se charge tous les matins d’acheminer la nourriture jusqu’au site de nourrissage, de l’autre, Odile nettoie chaque jour toutes les gamelles et s’occupe du nettoyage des abris…
Mais leur engagement va au-delà de cette gestion quotidienne, puisque ce sont eux qui ont effectué à titre personnel la plupart des achats de nourriture et de petit matériel.
Des chats stérilisés, mais plus d'argent pour les nourrir...
Aujourd’hui, après deux années de stérilisations financées grâce aux très faibles ressources de l’association, la population féline est enfin stabilisée. Mais le budget consacré à l’alimentation des chats est considérable : environ 300 euros par mois, dont presque 200 euros pour les aliments humides. « Nous arrivons à avoir les croquettes à un bon prix en les achetant en grandes quantités, mais pour la pâtée, c’est impossible de limiter les frais » se désespère Odile.
Malheureusement, le peu d’argent restant sur les comptes ne suffira pas à financer la nourriture tout l’hiver, et Odile et Jean-Paul ne peuvent pas indéfiniment puiser dans leurs ressources personnelles.
Si cette collecte réussit, les chats ne manqueront pas de nourriture cet hiver. Nous devons y arriver !