Perte d’appétit, apathie, fatigue : Sweety fait de l’insuffisance rénale !
600 kg
de granulés offerts
600 kg
de granulés nécessaires
Ces équidés ne doivent pas repartir à l'abattoir, nous devons aider Véronique !
L'association Lupus de Véro a été créée en 2010, entre Cambrai, Saint-Quentin et Péronne, aux confins du Nord et de la Somme.
A l'origine, Véronique, son mari et les quelques bénévoles de l'association, souhaitaient venir en aide aux chiens loups, tels que les chiens loups tchèques ou les huskies. Mais aujourd'hui, le refuge accueille plus d'une quarantaine d'animaux, parmi lesquels trois équidés.
La ferme risque d'être saisie
Véronique, la présidente de l'association, et son mari ont acheté une ferme afin d'accueillir tous leurs protégés. Véro souligne à ce propos « Nous voulions pouvoir rester en permanence avec les animaux. La plupart sont soit âgés, soit malades, les deux pour certains, comme nos trois chevaux. Alors c'est un peu nous qui vivons eux ! ».
Mais la situation financière de l'association est aujourd'hui particulièrement fragile. Véro d'ajouter en effet « nous étions dans le rouge il y a peu encore. Nous remontons tout juste la pente, mais cela reste très précaire. La ferme risque d'être saisie ! ».
Pour éviter cette catastrophe, avec les conséquences désastreuses que cela entraînerait sur les animaux, Véro doit trouver des solutions pour nourrir et soigner ses protégés.
Des soins très coûteux
Parmi les pensionnaires du refuge, trois chevaux sauvés de l'abattoir, âgés et malades. « Ils ont tous les trois plus de vingt ans, un âge charnière où les gens n'en veulent plus ». Souffrant d'emphysèmes, les équidés sont très fragiles et doivent rester dehors hiver comme été pour éviter d'agraver la maladie.
L'emphysème est une maladie respiratoire, elle provoque de grosses toux chez les chevaux et les rend allergique à la poussière.
Véro commente « tout le foin doit être lavé. Nous leur donnons aussi des fruits et des légumes frais que je récupère dans un magasin qui préfère me les donner plutôt que les jeter. Mais ils ont aussi besoin d'être complémentés en granulés ».
Mais entre les soins et la nourriture, il faut compter plus de mille euros par mois, les dons se font rares et la situation devient intenable pour Véronique.
Véronique remercie d'avance tous ceux qui l'aideront dans son combat pour sauver ces équidés qui ont tant souffert !