Le vieux Jaguar n'a presque plus de dents !
1 000 kg
de granulés offerts
1 000 kg
de granulés nécessaires
Il lui en faut rapidement pour faire reprendre du poids à des chevaux qu'elle vient de récupérer et qui sont dans des états catastrophiques.
Petit Prince, Chloé : ils ont déjà tant soufferts, ne les laissons pas mourir !
L’association Cheval Espoir 33 a été fondée en 1990 afin de recueillir les équidés maltraités, malades ou abandonnés, près de Coutras, en Gironde (33). Aujourd’hui, 38 équidés vivent sur le terrain que loue l’association, la plupart d'entre eux sont inadoptables.
Des équidés qu’on laissait mourir à petit feu
Certains des chevaux recueillis par l’association auraient pu finir à l’abattoir, mais la plupart se sont vus épargnés d’une mort bien plus horrible. Leurs anciens propriétaires les délaissaient complètement et ne leur assuraient pas suffisamment de nourriture. Les équidés étaient donc voués à s’affaiblir peu à peu jusqu’à devenir trop fragiles pour survivre.
C’est le cas de Petit Prince et Chloé qui viennent d'arriver à l'association.
Plus d’argent pour acheter les granulés
« Nous avons été amenés récemment à effectuer à titre exceptionnel des sauvetages de chiens et de chats en très mauvais état. Non seulement ces dépenses n’étaient pas du tout prévues, mais elles se sont en plus révélées exorbitantes. Maintenant, notre trésorerie est à sec », explique avec inquiétude Florence, une bénévole.
Pourtant, plusieurs chevaux de l’association, comme Petit Prince et Chloé, ont un besoin quasi vital de granulés. Ils sont en effet arrivés à l’association avec d’énormes carences de fond à rattraper, et reçoivent de manière fractionnée une double dose de complément pour retrouver un bon état général. Malheureusement, les bénévoles ne voient pas comment acheter les granulés nécessaires sans aide extérieure.
Dominique : une implication quotidienne auprès des chevaux
Dominique, la présidente de l’association, est retraitée. Elle consacre presque tout son temps, son énergie, ainsi qu’une portion non négligeable de ses revenus à ses protégés. Alors même qu’elle a eu de graves soucis de santé, elle porte chaque jour des sacs d’aliments de 25 kg ou de lourds seaux d’eau au bout des champs, mettant ainsi sa propre santé en danger !
En plus de cela, Dominique assure les enquêtes lorsque des cas de maltraitance sur des équidés sont signalés dans son secteur. « Elle est sur tous les fronts. Elle porte l’association à bout de bras ! Je ne sais pas comment elle fait… » commente Florence avec admiration.
Dominique et Florence remercient par avance tous ceux qui l’aideront à donner une nouvelle vie à ces équidés !