Raideurs, gênes articulaires, difficultés pour marcher : le pauvre Roméo a beaucoup d’arthrose !
672 sachets
de viande offertes
672 sachets
de viande nécessaires
Les tournées de nourrissage ne doivent pas être suspendues : nous devons aider Chantal !
L’association des Amis des Chats de Port-Vendres a été créée en 2010 dans les Pyrénées-Orientales, afin de limiter la prolifération des chats errants de son secteur et de prendre soin d’eux. Elle estime leur nombre à environ 300. Elle prend également en charge ceux d’entre eux nécessitant un suivi médical plus régulier.
15 chats en infirmerie et plusieurs sites de nourrissage
Les chats nourris par l’association, une fois trappés, soignés si besoin et stérilisés, sont généralement remis sur leur site d’origine, à moins qu’ils se révèlent adoptables. Les plus malades d’entre eux restent à l’infirmerie de l’association ; ils y sont actuellement une quinzaine.
Du fait de l’animosité générale de la population, le travail des bénévoles est assez ingrat. « Ici, les animaux ne sont pas vraiment les rois », déplore avec dépit Joëlle, la présidente. « Nous devons donc nous faire très discrets, sans quoi notre matériel est volé ou détérioré, nos opérations de trappage sabotées… »
Pas assez d’argent pour nourrir les chats
Nourrir quotidiennement plus de 300 chats représente un budget considérable, et avec le temps, les dons et adhésions ont tendance à s’amenuiser. Le paiement des factures vétérinaires étant prioritaire, la nourriture pourrait risque de manquer pour les protégés de l’association.
En effet, Les Amis des Chats de Port-Vendres ont dû récemment financer l’amputation de Bella, une chatonne de 2 mois à peine qui avait été accrochée par une voiture. Ajoutée aux traitements réguliers de Minette pour ses crises d’épilepsie, ou de Clochette, qui reçoit de la cortisone tous les mois, cette dépense imprévue du début d’année a complètement déséquilibré les finances de l’association.
Chantal : un dévouement total aux animaux
Infirmière libérale, Chantal pourrait profiter de sa retraite depuis plusieurs années, mais elle continue de travailler afin de pouvoir acheter la nourriture pour les sites de nourrissage dont elle s’occupe. Levée aux aurores, elle part nourrir les chats avant d’aller travailler puis effectue une nouvelle tournée le soir en rentrant.
Et elle donne bien plus à l’association que son temps ou que l’argent des croquettes : son quotidien est fortement impacté par les manifestations d’hostilité qui lui sont faites (insultes, voiture rayée…) et elle pourrait bien y laisser quelques plumes sur le plan moral.
Chantal compte sur nous pour l'aider à nourrir tous ses petits protégés !