La pauvre Lilith a été trouvée sans sa maman, en bas d’un immeuble…
288 sachets
de viande offertes
288 sachets
de viande nécessaires
Quand un chat est en danger, quelque soit les frais, Suzanne n'hésite jamais à le récupérer. Aujourd'hui c'est elle qui a besoin de notre aide pour les nourrir !
L’association ABCDA a été créée en 2006 dans le Vaucluse afin de recueillir les chats abandonnés et maltraités de son secteur. Avec plus de 300 chats au refuge ainsi qu’une douzaine de chiens, elle estime aujourd’hui avoir atteint le maximum de ses capacités d’accueil.
Des chats âgés sans perspective d'adoption
Les chats qui arrivent au refuge de l’association appartenaient souvent à des personnes âgées. Lors de leur départ en maison de retraite ou à leur décès, ils sont confiés à ABCDA et, sauf exception, ils finissent leur vie sur place.
À Cheval-Blanc, ils disposent d’un parc de 8000 m² ainsi que d’abris confectionnés par les bénévoles de l’association. « Ici, c’est du quatre étoiles » commente l’une d’entre eux, avant d’ajouter d’un air soucieux : « mais entretenir tout cela prend un temps fou ! ».
Pas assez d’argent pour nourrir les chats
Nourrir quotidiennement plus de 300 chats représente un budget considérable, sans parler des frais vétérinaires qui, avec le temps, ne peuvent qu’augmenter. Les aliments humides, plus chers à l’achat, sont en outre absolument nécessaires pour tous ces félins vieillissants à la santé altérée (abcès, tartre, calicivirus, plus de dents…).
Malheureusement, à cause d'une épidémie de typhus l’année dernière et la recrudescence généralisée du coryza à la faveur d’un hiver trop humide ont complètement déséquilibré les comptes de l’association. Aujourd’hui, les bénévoles ne voient pas comment financer la nourriture de leurs protégés…
Suzanne : avec les animaux du matin au soir
Bénéficiaire d’une petite retraite, Suzanne ne vit que pour les chats du refuge. Levée aux aurores, elle s’affaire toute la journée pour leur bien-être, que ce soit au refuge ou pour aller effectuer un sauvetage ou une visite chez le vétérinaire.
Au risque d’y laisser sa santé et tout son équilibre de vie, elle n’hésite jamais à se relever la nuit pour administrer un traitement, ni à puiser dans ses maigres réserves personnelles en cas de coup dur pour l’association.
Aujourd'hui, Suzanne est inquiète, sans soutien, comment continuer à nourrir ses protégés qui ont souvent connu l'enfer ?
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Cette collecte aura lieu en 3 parties, chaque partie a un objectif de 288 sachets, dès que l'objectif est atteint, la partie est livrée à l'association. L'association recevra en tout 864 sachets (288 x 3).
Partie 1 : Livrée le 21/04/2016
Partie 2 : Livrée le 27/04/2016
Partie 3 : En cours