SOS ! Au Maroc, Rokaya n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 179 chiens de son refuge : ils vont mourir de faim !
384 sachets
de viande offertes
384 sachets
de viande nécessaires
Si cette collecte échoue : les donateurs seront remboursés et l'association ne recevra rien.
Plume vient d'un appartement où elle était livrée à elle-même avec ses chatons, plusieurs d'entre eux ont été dévorés...
Plume a perdu des dents, elle a du mal à mâcher les croquettes, l'association a besoin de sachets pour lui faire reprendre des forces !
Plume vivait chez un monsieur possédant de nombreux chats et s’étant laissé déborder par les portées. « Il n’avait ni les moyens ni les compétences pour s’occuper d’autant d’animaux à la fois », raconte Joëlle, la présidente, en évoquant les 30 chats et les 2 chiens qui vivaient dans des conditions déplorables. Suite à un accident de voiture de leur propriétaire, les animaux sont restés livrés à eux-mêmes pendant une semaine avant que l’alerte soit donnée.
« Il y avait d’autres femelles allaitantes, mais seule Plume nourrissait les petits. Nous avons rapidement compris que tous n’étaient pas les siens, et que des portées manquaient, sans doute dévorées par les chiens affamés », raconte la présidente avec émotion. « Elle-même a dû avoir sa première portée avant la fin de sa croissance, car il lui manque des dents : sans doute à cause du calcium qu’elle n’a pas pu fixer à ce moment-là. »
« Il nous faudrait de la nourriture de bonne qualité pour rattraper les carences énormes dont elle souffre. Dans son cas, les sachets de nourriture humide sont indispensables, car il lui manque des dents, elle a des difficultés à mâcher les croquettes, mais les sachets sont trop cher pour nous », explique Joëlle avec inquiétude.
Plus d’argent pour acheter de la nourriture
Ce récent sauvetage a occasionné d’énormes frais pour cette petite structure, dont les ressources sont très limitées, puisqu’elle se consacre en temps normal à la sensibilisation et l’information. « Nous manquons de tout, a fortiori après avoir payé les stérilisations et soins vétérinaires dont absolument tous ces chats ont besoin, que ce soit pour traiter des coryzas, des calicivirus ou des gales d’oreille... C’est très difficile financièrement », conclut Joëlle, préoccupée.