Pour bien grandir, Léa va avoir besoin de boîtes adaptées…
600 000 cm2
de couvertures offertes
600 000 cm2
de couvertures nécessaires
Sans votre aide, comment garder chats et chatons au chaud ?
En mars 2015, alors qu’un voisin décime impunément les chats errants du quartier, Isabelle décide de créer son association afin de sauver ces animaux et de lutter contre la prolifération féline. Limitée par ses capacités, l’association Les Chatons de l’Espoir recueille de nouveaux félins dès que des places se libèrent et compte en permanence 23 pensionnaires. Elle suit également un site de nourrissage dans le village voisin de Montsaunès.
Des chatons fragiles, à protéger
Isabelle, la présidente, a mis à disposition de l’association une partie d’une grange familiale en Haute-Garonne, qu’elle partage avec son frère et sa sœur. Les chats y disposent d’un mobil-home chauffé et de chatteries extérieures sur un terrain de 3000 m².
L’association trappe prioritairement les femelles, bien souvent gestantes, afin de les stériliser au plus vite. « Parfois, nous devons même nous substituer aux mamans et biberonner les petits toutes les deux heures. C’est extrêmement contraignant, et cela exige aussi de maintenir un environnement le plus sain possible », explique Isabelle avec gravité.
Plus de couvertures après un cas de typhus
Malheureusement, suite à un cas de teigne l’an passé, toutes les couvertures de l’association ont dû être détruites. « Nous en avons bien récupéré quelques-unes, mais c’est largement insuffisant pour pouvoir les laver aussi souvent qu’il le faudrait », déplore Isabelle.
Faute de pouvoir acheter de nouvelles garnitures, Isabelle se trouve donc dans l’angoisse constante de savoir que les chatons risquent d’attraper microbes et maladies par manque d’hygiène. Les Chatons de l’Espoir sont dans l’impasse !
Isabelle, sur la même longueur d’onde que ses chats
Souffrant d’une maladie auto-immune extrêmement douloureuse, Isabelle a dû arrêter de travailler en 2010. Aujourd’hui, l’association est sa motivation pour se lever le matin. Elle a même entrepris une formation de comportementaliste féline.
C’est elle le pivot de l’association : gérant aussi bien les soins et les courses que les rencontres des adoptants, les trajets chez le vétérinaire ou les appels à l’aide, cette maman de 3 adolescents endure aussi l’inquiétude au quotidien. « Souvent, j’ai peur de ne pas pouvoir continuer : comment m’occuper correctement de ces pauvres chats dans ces conditions ? »
Isabelle remercie par avance tous ceux qui l’aideront à garder ses protégés bien au chaud.