Victime de maltraitances, Wa Haut De D’la a gardé de nombreuses séquelles…
240 kg
de croquettes offertes
240 kg
de croquettes nécessaires
Si cette collecte échoue : les donateurs seront remboursés et l'association ne recevra rien.
Stella était gestante, pourtant elle vivait dans la rue attachée toute la journée à un poteau... Elle a été sauvée par Méghane et vient tout juste de mettre bas.
Méghane a besoin de croquettes pour elle et ses petits !
Âgée d’environ 1 an et demi, Stella a eu un démarrage difficile. « Stella a été trouvée attachée à un poteau avec une ceinture, à Fresnes. La pauvre était exténuée : elle venait de passer une journée ainsi sous la pluie et était prête à mettre bas – à tel point qu’elle ne pouvait pas s’asseoir, raconte Méghane, la présidente. Elle appartenait à un SDF qui a accepté de la céder à l’association ; elle a mis bas 5 jours plus tard d’une portée de 6 chiots. »
« Stella a sans doute été battue et maltraitée depuis son plus jeune âge : elle porte des brûlures de cigarette un peu partout sur le corps, n’a plus de poils sous les pattes et est assez méfiante lorsque l’on s’approche d’elle pour la caresser », ajoute Méghane. « Elle vit actuellement en famille d’accueil et allaite ses 6 petits, c’est pourquoi il est primordial qu’elle bénéficie d’une bonne alimentation, d’autant plus qu’elle n’a pas forcément été bien nourrie jusqu’à présent. »
« Malheureusement, nous ne pouvons pas nous permettre d’acheter de croquettes pour le moment », conclut Méghane avec inquiétude.
Plus d’argent après de nombreux sauvetages de chiens
L’association Les Amis de Rita se consacre principalement aux chats des rues, mais ces dernières semaines, les sauvetages de chiens se sont multipliés, avec frais d’identification, stérilisation et vaccination à la clé.
« Nos dépenses vétérinaires ont explosé – toutes ces interventions sont beaucoup plus coûteuses sur des chiens que sur des chats. Avec moins d’un an d’existence, notre association ne peut compter que sur les dons et adhésions, et en ce moment, nous avons du mal à suivre. Je ne sais pas comment nous allons nous en sortir sans aide extérieure », avoue Méghane, préoccupée.