SOS ! Au Maroc, Rokaya n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 179 chiens de son refuge : ils vont mourir de faim !
384 sachets
de viande offertes
384 sachets
de viande nécessaires
Si cette collecte échoue : les donateurs seront remboursés et l'association ne recevra rien.
Hippolyte a connu la rue et surtout l'amputation, depuis il a des problèmes de posture...
L'association a des difficultés pour le nourri, il n'accepte que les sachets !
Hippolyte, 3 ans, est un chat qui n’a pas eu de chance. « Les deux premières années de sa vie, il les a passées dans la rue – où il est probablement né, d’ailleurs –, aux côtés de SDF. Récupéré par une association amie alors qu’il souffrait d’une infection depuis trop longtemps déjà, il a dû être amputé de la patte avant gauche », explique Patricia, la présidente.
« De plus, il a souffert de problèmes ophtalmiques liés au coryza, pour lesquels il a été traité après son sauvetage. Il a également été vacciné contre le coryza pour en atténuer les effets. Maintenant, nous cherchons une solution pour lui procurer une prothèse, car du fait de son amputation, il a des problèmes de posture. »
« Pour couronner le tout, il n’accepte de manger que de la pâtée », explique Patricia. « C’est important qu’il se nourrisse correctement, malheureusement, cela coûte cher et nous n’avons que peu de ressources pour financer les 150 euros mensuels de nourriture pour nos protégés. Nous avons vraiment du mal à joindre les deux bouts », rapporte Patricia avec inquiétude.
Plus d’argent pour acheter de la nourriture
L’association, créée il y a moins d’un an, ne peut pas encore compter sur l’aide de fondations ou d’éventuelles subventions publiques. Avec très peu d’adhérents ou donateurs, elle ne dispose pour le moment que de maigres ressources, et c’est Patricia qui prend le relai quand il s’agit de financer les stérilisations, soins, achats de nourriture…
« Je travaille à temps partiel et je fais vraiment tout ce que je peux, mais là, ce n’est plus possible. J’ai vraiment du mal à suivre financièrement », s’inquiète-t-elle.