Abcès, gencives enflammées : le pauvre César n’a pas une vie facile !
92 106 cm3
de niche offertes
92 106 cm3
de niche nécessaires
Si cette collecte échoue : les donateurs seront remboursés et l'association ne recevra rien.
L'association souhaite offrir un abri à Mortimer, un chat qui a été enfermé durant 7 jours dans un appartement...
Mortimer fait partie d'un sauvetage qui a ruiné l'association, nous devons l'aider !
Mortimer vivait chez un monsieur possédant de nombreux chats et s’étant laissé déborder par les portées. « Il n’avait ni les moyens ni les compétences pour s’occuper d’autant d’animaux à la fois », raconte Joëlle, la présidente, en évoquant les 30 chats et les 2 chiens qui vivaient dans des conditions déplorables. Suite à un accident de voiture de leur propriétaire, les animaux sont restés livrés à eux-mêmes pendant une semaine avant que l’alerte soit donnée.
« Mortimer souffrait de coryza et d’une gale d’oreille jamais soignés, et d’une inflammation de la peau, sans doute causée par une morsure de tique. Il présente également des plaies à la bouche probablement dues à un calicivirus », déplore la présidente. « Malgré tout, il était parmi les chats en meilleure santé du site. Il a donc été remis sur place après sa stérilisation : nous assurons les soins vétérinaires et assistons le propriétaire pour l’alimentation des chats restants. »
« C’est également important que Mortimer puisse sortir de la maison et profiter du jardin – plutôt une plantation d’orties et d’herbes folles, en fait –, mais il faudrait y installer des abris, et nous ne pourrons pas en acheter sans aide extérieure », s’inquiète Joëlle.
Plus d’argent pour acheter des abris
« Les chats de ce sauvetage ne sont pas les seuls pris en charge : nous avons plusieurs points de nourrissage dans les communes environnantes, chats qui sont nourris plusieurs fois par semaine, essentiellement avec des croquettes, dont l’achat ampute largement nos finances. Ce nouveau point de nourrissage de 17 chats n’est pas sans mettre en péril nos finances », conclut Joëlle, préoccupée.