Mal nourrie, la pauvre Clochette est devenue sourde et aveugle !
384 sachets
de viande offertes
384 sachets
de viande nécessaires
Si cette collecte échoue : les donateurs seront remboursés et l'association ne recevra rien.
Amputation, coryza, conjonctivite... Rien n'est épargné à la pauvre Pepsie.
Pepsie adore les sachets, mais l'association n'a pas les moyens de lui en acheter.
Offrons un peu de bonheur à Pepsie !
Âgée d’environ 11 ans, Pepsie n’a plus que trois pattes. « Ses anciens propriétaires la laissaient toute la journée sur leur balcon, et ils habitaient au cinquième étage. Elle en serait tombée plusieurs fois, la dernière l’ayant laissée avec une fracture ouverte impossible à soigner sur une de ses pattes arrière », explique Patricia, la présidente. « C’est pourquoi elle a malheureusement dû être amputée. »
« Elle a également connu des problèmes ophtalmiques liés au coryza, qui l’empêchent de voir tout à fait bien, et souffre de conjonctivite chronique. Son traitement, à base de gouttes à lui administrer en cas de crise – soit à peu près une fois par mois –, engendre des frais assez lourds sur la durée », reconnaît la présidente.
« Pepsie est extrêmement zen et a pris sous son aile plusieurs des chats plus jeunes de l’association. Elle raffole de la pâtée, malheureusement, cela coûte cher et nous n’avons que peu de ressources pour financer les 150 euros mensuels de nourriture pour nos protégés. Nous avons vraiment du mal à joindre les deux bouts », rapporte Patricia avec inquiétude.
Plus d’argent pour acheter de la nourriture
L’association, créée il y a moins d’un an, ne peut pas encore compter sur l’aide de fondations ou d’éventuelles subventions publiques. Avec très peu d’adhérents ou donateurs, elle ne dispose pour le moment que de maigres ressources, et c’est Patricia qui prend le relai quand il s’agit de financer les stérilisations, soins, achats de nourriture…
« Je travaille à temps partiel et je fais vraiment tout ce que je peux, mais là, ce n’est plus possible. J’ai vraiment du mal à suivre financièrement », s’inquiète-t-elle.