Cette récolte a été réussie, elle a été livrée le 20/07/2016, découvrez les photos de la livraison.

De la nourriture pour SOS Animal Tendresse

L'association a besoin de sachets pour Jungle, une croisée persane qui vient d'être recueillie dans un terrible état.

384 sachets
de viande offertes

384 sachets
de viande nécessaires

FF0000">Attention ! Si cette collecte échoue, les donateurs seront remboursés et l'association ne recevra rien

Jungle vient d'être recueillie dans un terrible état : abscès, dents dégradés...

On a du lui retirer toutes les dents, elle ne peut plus manger que des sachets !

Les réserves de l'association sont bientôt épuisées, ne laissons pas Adonis sans sachets !

Recueillie à la Pentecôte 2016, Jungle est une des dernières arrivées au refuge de l’association. « Il est toujours difficile de reconstituer l’histoire des chats sans identification que nous trouvons dans la rue, mais Jungle était stérilisée : c’est donc qu’elle avait bien déjà eu un maître.

Âgée de 11 ou 12 ans, cette croisée persane était terrorisée lorsque nous l’avons sauvée, et pleine de bourre : elle venait sans doute de passer de longues semaines à la rue, dans un milieu qui ne lui était pas familier », déplore Vivette, la présidente.

« Surtout, la bouche de Jungle était dans un état catastrophique : elle souffrait d’abcès externes. C’était au point qu’il a fallu lui poser des agrafes pour refermer les plaies de ses joues, et l’isoler en quarantaine durant 2 longs mois ! » se souvient la présidente.

« Nous lui avons évidemment fait retirer le peu de dents qui lui restaient, trop entartrées, et présentant trop de risques pour sa santé – nous en avions la terrible démonstration à l’époque ! Les croquettes sont désormais exclues pour elle », ajoute Vivette. « Malheureusement, nous ne pouvons pas nous permettre d’acheter de pâtée », conclut Vivette avec inquiétude.

Plus d’argent pour acheter de la nourriture

SOS Animal Tendresse vient de sauver de l’euthanasie un groupe de 10 chats libres de 2 ou 3 ans capturés sur la commune de Thivars, non loin de Chartres : il va maintenant falloir les stériliser et les faire identifier rapidement avant de les relâcher sur leur territoire.

« Le devis est en cours, mais il est certain que ces frais vont amputer notre budget nourriture. Malheureusement sans aide extérieure, je crains de ne pas avoir tellement de choix », avoue Vivette, préoccupée.