La pauvre Holly est épuisée par de fortes diarrhées…
384 sachets
de viande offertes
384 sachets
de viande nécessaires
Fripouille a été lâchement abandonnée dans un carton avec 6 autres chats malades, ils sont tous morts...
Fripouille est en mauvaise santé, elle va régulièrement chez le vétérinaire.
Elle souffre d'un calcivirus et d'une gingivite, ces inflammations très douloureuses l'empêche de mâcher des croquettes.
Christèle n'a plus assez de sachets pour nourrir Fripouille !
Fripouille est une chatte de quatre ans, rescapée in extremis par l’association Les Félins de Saint Eliph. « Elle était dans un carton avec six autres chats. Trois d’entre eux sont décédés : un est mort du sida et les deux autres de la leucose, » se souvient Christèle avec émotion. En tant que présidente de l’association, elle voit tous les jours des chats laissés à l’abandon.
Fripouille est en vie, mais sa santé est extrêmement fragile. « Elle a actuellement la calicivirose et une gingivite. Je lui procure des anti-inflammatoires mais il faut l’amener chez le vétérinaire à peu près une fois par mois, » confie Christèle. La calicivirose est un virus provoquant des maladies et infections de la bouche chez le chat.
Malheureusement il n’existe pas de traitement efficace contre ce virus : «la calicivirose sera toujours récurrente, on fait donc tout notre possible pour que Fripouille puisse continuer à vivre sans trop souffrir de sa maladie, » explique Christèle avec affliction.
Les symptômes de sa calicivirose handicape beaucoup Fripouille. « Elle a beaucoup de mal à manger des croquettes, je peux seulement lui donner de la pâtée, et malheureusement, on en manque souvent. »
Christèle ne s'en sort plus !
Les Félins de Saint Eliph accueille des chats abandonnés et malades pour les soigner et leur offrir une vie meilleure. L’association a grand besoin d’aide pour continuer à aider ces matous. « Les chats subissent beaucoup d’opérations, ils ont besoin d’alimentation saine et je suis contrainte de tout payer car nous recevons trop peu de dons, » explique la présidente avec désarroi.
La SPA prend en charge quelques soins mais l’association lutte pour nourrir convenablement ses pensionnaires. « Les gens m’apportent parfois quelques boites, quelques croquettes mais ça ne suffit pas, » se désole Christèle.