Cette récolte a été réussie, elle a été livrée le 20/07/2016, découvrez les photos de la livraison.

De la nourriture pour SOS Animal Tendresse

L'association a besoin d'aide pour nourrir Cacahuète, un chat des rues qui a perdu ses oreilles.

384 sachets
de viande offertes

384 sachets
de viande nécessaires

font-size:18px">Cacahuète a vécu dans la rue : il n'a plus d'oreilles, souffre de coryza et du sida des chats.

C'est un chat très fragile, par moment il a du mal à mâcher les croquettes.

Il faut des sachets pour le nourrir, mais les stocks de l'association sont au plus bas...

Nous devons aider Vivette à le sauver !

Attention ! Si cette collecte échoue, les donateurs seront remboursés et l'association ne recevra rien.

Cacahuète est arrivé au refuge de l’association il y a 2 ans environ. « Ce mâle de 13 ans faisait partie d’un groupe de 9 chats des rues vivant près de Chartres qui devaient être mis en fourrière.

Nous l’avons fait castrer à son arrivée, mais il venait de passer les 11 premières années de sa vie à défendre son territoire en se battant. Ses oreilles y sont restées ! », explique Vivette, la présidente.

« Cacahuète souffre de coryza chronique : il a tendance à s’enrhumer très facilement. Quand cela arrive, il maigrit vite, car il éprouve des difficultés à croquer.

Comme il est également porteur sain du sida du chat, je le surveille de très près ; dès que j’estime cela nécessaire, je lui donne de la pâtée, plus appétente, mais aussi plus facile à avaler », explique la présidente.

« Notre stock de sachets de nourriture humide est quasiment épuisé. Malheureusement, nous ne pouvons pas nous permettre d’en racheter, aussi je rationne les chats comme Cacahuète en espérant que leur santé ne se dégrade pas tant que nous n’aurons pas reconstitué nos réserves », conclut Vivette avec inquiétude.

Plus d’argent pour acheter de la nourriture

SOS Animal Tendresse vient de sauver de l’euthanasie un groupe de 10 chats libres de 2 ou 3 ans capturés sur la commune de Thivars, non loin de Chartres : il va maintenant falloir les stériliser et les faire identifier rapidement avant de les relâcher sur leur territoire.

« Le devis est en cours, mais il est certain que ces frais vont amputer notre budget nourriture. Malheureusement sans aide extérieure, je crains de ne pas avoir tellement de choix », avoue Vivette, préoccupée.