À cause d’un handicap de naissance, Amoureuse a de grosses difficultés pour se déplacer…
384 sachets
de viande offertes
384 sachets
de viande nécessaires
Mademoisselle est une chatte sortie de la rue, elle n'a presque plus de dents.
Elle ne peut plus mâcher les croquettes, il lui faut des sachets, mais les stocks de l'association sont au plus bas...
Mademoiselle a besoin de notre aide pour manger !
Mademoiselle est arrivée au refuge de l’association il y a 2 ans environ. « Cette minette noire faisait partie d’un groupe de 9 chats des rues vivant près de Chartres qui devaient être mis en fourrière.
Elle a échappé à la mort plusieurs fois depuis que nous l’avons recueillie : Mademoiselle présente en effet des problèmes de cicatrisation », explique Vivette, la présidente.
« À cause d’inflammations dans la bouche dues au tartre, nous lui avons fait extraire la plupart de ses dents, mais à chacune de ses 3 opérations, sa rémission a été compliquée par des alvéolites, qui ont largement ralenti la cicatrisation et affaibli Mademoiselle.
Elle souffre également d’intolérances digestives : elle a donc impérativement besoin de pâtée pour son alimentation, plus digeste et plus nourrissante que les croquettes, qu’elle ne peut de toute façon plus mâcher », explique la présidente.
« Malheureusement, notre stock de sachets de nourriture humide est quasiment épuisé, et nous ne pouvons pas nous permettre d’en racheter, aussi je rationne les chats en espérant que leur santé ne se dégradera pas tant que nous n’aurons pas reconstitué nos réserves », conclut Vivette avec inquiétude.
Plus d’argent pour acheter de la nourriture
SOS Animal Tendresse vient de sauver de l’euthanasie un groupe de 10 chats libres de 2 ou 3 ans capturés sur la commune de Thivars, non loin de Chartres : il va maintenant falloir les stériliser et les faire identifier rapidement avant de les relâcher sur leur territoire.
« Le devis est en cours, mais il est certain que ces frais vont amputer notre budget nourriture. Malheureusement sans aide extérieure, je crains de ne pas avoir tellement de choix », avoue Vivette, préoccupée.