Éternuements, troubles respiratoires : la petite Gaufrette a attrapé le coryza…
460 000 cm2
de couvertures offertes
460 000 cm2
de couvertures nécessaires
Quand l’association a sauvé Monoï et Meiko il y a un peu plus de deux mois, ils étaient terriblement carencés. Aujourd’hui, elle n’a pas assez d’argent pour acheter les couvertures qui les aideraient à rester bien au chaud.
L’association APSANA a sauvé ces chatons alors qu'ils ne pesaient même pas 200 g : ne les laissons pas tomber maintenant !
Monoï et Meiko sont nés chez un monsieur vivant avec des chats et s’étant laissé déborder par les portées. « Il n’avait ni les moyens ni les compétences pour s’occuper d’autant d’animaux à la fois », raconte Joëlle, la présidente, en évoquant les 30 chats et les 2 chiens qui vivaient dans des conditions déplorables.
Suite à un accident de voiture ayant laissé leur propriétaire dans le coma pendant plusieurs jours, les animaux sont restés livrés à eux-mêmes pendant une semaine avant que l’alerte soit donnée.
« Monoï était couchée dans le lit du monsieur avec son frère, Meïko. Elle avait un œil crevé par le coryza et était très faible. Avec ses 180 g, on lui donnait difficilement 2 semaines… En réalité, elle en avait 5 », raconte la présidente avec émotion.
« Nous nous sommes battus pour les sauver : ils refusaient de s’alimenter et leur pronostic vital était engagé. Alors, nous les avons nourris de force et placés en couveuse pour les sauver. »
« Il nous faut plus de couvertures, car le froid ralentit leur rémission, et des chatons comme Monoï partent de très loin. Malheureusement, nous ne pouvons pas nous permettre d’en acheter », s’inquiète la présidente.
Plus d’argent pour acheter des couvertures
Ce récent sauvetage a occasionné d’énormes frais pour cette petite structure, dont les ressources sont très limitées, puisqu’elle se consacre en temps normal à la sensibilisation et l’information.
« Nous manquons de tout, a fortiori après avoir payé les stérilisations et soins vétérinaires dont absolument tous ces chats ont besoin, que ce soit pour traiter des coryzas, des calicivirus ou des gales d’oreille... C’est très difficile financièrement », conclut Joëlle, préoccupée.