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De la nourriture pour ABCDA

Le refuge a besoin de sachets pour réhydrater Pixel et Agathe, deux chattes qui ont vécu enfermées dans un appartement.

288 sachets
de viande offertes

288 sachets
de viande nécessaires

font-size:18px">Pixel et Agathe ont vécu enfermées dans un appartement, elles souffrent de déshydratation.

Le refuge a besoin de sachets pour les aider à se réhydrater, mais l'association ne s'en sort plus, les magasins refusent ses collectes alimentaires : nous devons l'aider !

Pixel et Agathe sont deux chattes qui restent toujours ensemble. Elles se réconfortent sans doute de cette manière après avoir vécu un certain temps dans des conditions déplorables.

« Elles vivaient enfermées dans un appartement avec 16 autres chats et 13 chiens, s'émeut Françoise, la présidente de l'association. Ces animaux ne sortaient pas, ne voyaient personne... Personne ne s'inquiétait d'eux. »

C'est suite à l'hospitalisation de leur propriétaire que Pixel et Agathe ont été découvertes « elles étaient restées 10 jours sans eau ni nourriture avant qu'un voisin ne s'inquiète. Si personne n'était intervenu, elles auraient pu mourir sur place. »

Rien n'avait été prévu pour ces deux chattes « elles vivaient dans une hygiène déplorable, ni vaccinées, ni stérilisées. On a tout de suite remarqué qu'elles étaient gravement déshydratées. »

C'est un véritable protocole de soin qui est depuis mis en place par l'association « pour le moment, on les observe, et on les aide à reprendre des forces. Pixel et Agathe sont plutôt dociles, et n'ont pas peur de l'humain, ce qui est plutôt positif.

Cependant, on a besoin de sachets de nourriture pour elles : elles ne peuvent manger que des aliments humides, pour se réhydrater progressivement ».

Des supermarchés qui refusent les collectes

L'association aide de nombreux chats « il faut les nourrir, s'occuper des frais vétérinaires, de la litière. On n'a aucune subvention, alors il faut trouver des solutions. »

Les démarches que Françoise et son association menaient trouvent malheureusement de moins en moins d'échos « Avant, on faisait des opérations dans les supermarchés pour récupérer de la nourriture, mais de plus en plus de gérants sont réfractaires à notre présence. On a du mal à récupérer de la nourriture maintenant. Un petit coup de pouce nous ferait du bien. »