Lily a un gros coryza !
250 kg
de granulés offerts
250 kg
de granulés nécessaires
Apache était régulièrement frappée dans la ferme pédagogique où elle travallait, elle en reste traumatisée à vie...
Ce douloureux passé a causé chez elle des troubles de l'alimentation, elle a besoin de granulés pour se nourrir.
Faute de dons, Laurence finance elle-même le fonctionnement de son association, elle ne s'en sort plus !
Apache est une jument au passé difficile. « Je l’ai rachetée à une ferme pédagogique où on la frappait afin de faire monter tout le monde sur son dos, y compris les personnes à mobilité réduite, » se désole Laurence, présidente de l’association Crinière au vent.
Les séquelles physiques mais surtout psychologiques d’Apache sont profondes et ne lui permettent pas de vivre une vie normale. Laurence se souvient avec émotion : « À son arrivée, on ne pouvait pas l’approcher. Quand on voulait l’embrasser ou la caresser elle avait très peur, il a fallu la remettre en confiance. Elle n’a jamais voulu partir de la maison parce que les gens lui faisaient peur. Donc nous l’avons gardée avec nous. »
L’angoisse d’Apache provoque chez elle des troubles de l’alimentation et elle ne se nourrit que de granulés humidifiés et de foin. « Il faut offrir à ce cheval la vie qu’il mérite, » implore Laurence. Les lourds frais de vétérinaire laissent Crinière au vent sans un sou pour donner à Apache l’alimentation dont elle a besoin.
Sans granules, ils finiront à l’abattoir
Aujourd’hui l’association manque cruellement de quoi nourrir ses rescapés : « On reçoit quelques dons, mais c’est en majorité moi qui paye. Avec les vermifuges, les soins, les entretiens des box, je ne m’en sors pas » se désole la présidente. Sans dons supplémentaires, Crinière au vent n’aura pas assez de nourriture pour sauver tous ses équidés de l’abattoir.