Calicivirus, problèmes cardiaques et pulmonaires : la pauvre Daisy cumule les soucis de santé !
336 sachets
de viande offertes
336 sachets
de viande nécessaires
Max a connu l'enfer, il vivait enfermé dans un appartement de 40 m², entassé avec 20 autres chats et 13 chiens...
Il ne sortait jamais et était mal nourri, il est arrivé très affaibili au refuge, son visage était couvert de croutes !
La priorité est que Max reprenne des forces en mangeant, mais il n'accepte que la nourriture humide.
Malheureusement, le refuge n'arrive plus à s'en procurer, les supermarchés refusent ses stands de collecte.
Max a déjà connu la faim, ne laissons pas cela recommencer !
Max ne fait pas partie des chats que l'on a spontanément envie de caresser dès qu'on le voit. Ce qui n'a pas empêché Françoise de le récupérer, avec d'autres chats qui avaient été enfermés dans des conditions déplorables
« Max fait partie d'une vingtaine de chats qui vivaient reclus dans un appartement d'à peine 40 m2, avec 13 autres chiens. Ces animaux ne sortaient jamais, n'étaient pas nourris correctement. Il était plus que temps que quelqu'un les prenne en charge » s'émeut la présidente de l'association.
Les conditions de vie de Max ne l'ont pas aidé à se mettre en valeur « il est blessé sur la face et couvert de croutes. On ne sait pas encore s'il s'agit des cicatrices de bagarres avec d'autres animaux ou d'une maladie de peau. Pour le moment, l'urgence, c'est de le requinquer. »
Son aspect pitoyable n'est en effet pas le principal souci de Max « Il est resté près de 10 jours sans nourriture et sans eau, abandonné par sa propriétaire, avant qu'un voisin ne se décide à donner l'alerte. Il était complètement déshydraté. Aujourd'hui, on ne peut lui donner que des aliments humides pour l'aider à reprendre des forces. »
Des supermarchés qui refusent les collectes
L'association aide de nombreux chats « il faut les nourrir, s'occuper des frais vétérinaires, de la litière. On n'a aucune subvention, alors il faut trouver des solutions. »
Les démarches que Françoise et son association menaient trouvent malheureusement de moins en moins d'échos « Avant, on faisait des opérations dans les supermarchés pour récupérer de la nourriture, mais de plus en plus de gérants sont réfractaires à notre présence. On a du mal à récupérer de la nourriture maintenant. Un petit coup de pouce nous ferait du bien. »