Avec l’âge, Nonette a beaucoup maigri…
384 sachets
de viande offertes
384 sachets
de viande nécessaires
Nathael et Samuel sont malades, abcès, ulcères : ils ne peuvent plus mâcher de croquettes.
Il faut des sachets pour les nourrir, mais Christèle ne s'en sort plus, elle finance déjà elle-même le budget de son association.
Samuel et Nathael ont besoin de nous !
Nathael et Samuel sont deux chats de cinq ans dont le début de vie n’a pas été facile. « J’avais récupéré une chatte avec une patte cassée sur un rond-point. Un mois après son arrivée, elle a donné naissance à cinq chatons, dont Nathael et Samuel. Malheureusement la mère était atteinte du sida. Elle est décédée, ainsi que deux de ses petits, » raconte avec émotion Christèle, présidente de l’association.
Nathael a toujours eu une santé fragile et il souffre aujourd’hui de plusieurs maux. « Il a eu un ulcère de la bouche cette année, et on redoute qu’il soit atteint de calicivirose, » confie Christèle inquiète. Samuel est quant à lui atteint de leucose, « On peut apporter des soins pour les soulager et les soigner superficiellement mais c’est incurable, » se désole la présidente.
Les soucis de santé de Nathael et Samuel les ont amenés à subir des opérations. « Ils ont reçu un détartrage et une ablation dentaire » explique Christèle. À présent, il est impossible pour les deux chats de se nourrir de croquettes. « Ils mangent de la pâtée, voire même de la terrine pour chaton. Sans aide pour les nourrir, je doute qu’ils soient encore là l’an prochain, » conclut-elle avec tristesse.
Christèle ne s'en sort plus du tout !
Les Félins de Saint Eliph accueille des chats abandonnés et malades pour les soigner et leur offrir une vie meilleure. L’association a grand besoin d’aide pour continuer à aider ces matous.
« Les chats subissent beaucoup d’opérations, ils ont besoin d’alimentation saine et je suis contrainte de tout payer car nous recevons trop peu de dons, » explique la présidente avec désarroi.
La SPA prend en charge quelques soins mais l’association lutte pour nourrir convenablement ses pensionnaires. « Les gens m’apportent parfois quelques boites, quelques croquettes mais ça ne suffit pas, » se désole Christèle.