Catastrophe ! En Serbie, Danijela n'a quasiment plus de croquettes pour nourrir les chiens de son refuge et ceux dont elle s'occupe dans les rues : ils vont mourir de faim !
200 kg
de granulés offerts
200 kg
de granulés nécessaires
Babog était laissée à l'abandon dans un champ en Irlande, elle devait finir euthanasiée.
Muriel n'a pas pu s'y résoudre, elle l'a rapatriée en France.
Aujourd'hui cette belle histoire risque de s'arêter... Muriel doit vendre sa ferme et elle manque de granulés pour nourrir Babog.
Ne la laissons pas tomber !
Babog est une double ponette Conney Mara, croisée Irish Cob, venant tout droit d’Irlande. En effet, Muriel — présidente de l’association Tagada Spirit — a réalisé de nombreux voyages dans ce pays pour sauver des équidés abandonnés.
Ils sont souvent laissés à l’abandon par leurs propriétaires pendant l’hiver. Si personne ne les réclame une fois le printemps revenu, ils sont alors euthanasiés.
« Je l’avais vue en photo avant d’arriver en Irlande. Elle était rachitique, avec une corde au cou très serrée. J’ai vraiment pris peine pour cette jument, » se souvient Muriel avec émotion. « Quand je suis arrivée sur place, elle ne faisait qu’une chose : mordre tout le monde tellement elle avait manqué de nourriture. »
Même après plusieurs mois de soins, les séquelles psychologiques de Babog sont encore profondes. « Au mois de mai dernier, elle a encore mordu quelqu’un qui apportait le foin, tout simplement parce que la nourriture arrivait. Elle a un gros problème avec l’alimentation, » se désole Muriel.
En plus de son traumatisme, Babog a également des problèmes de dentition du fait de son passé de cheval affamé. Elle mérite de ne plus jamais manquer de nourriture.
Tagada Spirit est une association de sauvetage de chevaux située dans l’Hérault. Aujourd’hui, elle cherche désespérément des dons pour pouvoir continuer à sauver la vie des équidés maltraités et abandonnés.
« Suite au décès de ma sœur et à la séparation avec mon conjoint, je suis contrée de vendre la ferme où nous sommes actuellement. Trouver des terrains, et les clôturer implique beaucoup de dépenses et j’ai du mal à m’en sortir, » confie Muriel qui vit aujourd’hui dans un mobil home. En pleine transition, Tagada Spirit a cruellement besoin d’un coup de pouce pour pouvoir rebondir.