Touchée par un parasite intestinal, la pauvre Fifi a de fortes diarrhées…
380 000 cm2
de couvertures offertes
380 000 cm2
de couvertures nécessaires
Une promeneur a découvert 4 chatons, enfermés, dans un carton abandonné...
Ils venaient tout juste de naître, ils avaient encore leur cordon ombilical : la séparation avec leur mère a du être terrible !
L'association APATE a récupéré ces félins très fragiles, malheureusement l'un d'entre eux est mort au bout d'une semaine.
Les autres continuent à se battre pour vivre, mais ils n'ont plus leur mère pour réguler leur température.
Si ils se refroidissent, ils risquent de mourir, il faut des couvertures pour empêcher cela !
Mika, Sia, et Noa sont trois chatons de huit semaines dont la survie n’a tenu qu’à un fil. « Une personne qui se promenait à aperçu des gens déposant une boîte en carton au sol. Elle a attendu qu’ils partent pour s’approcher ; c’est alors qu’elle a trouvé quatre chatons à peine nés, le cordon ombilical encore tout frais, » raconte Magali, secrétaire de l’association.
« Ils ont littéralement été arrachés à leur maman ! Ils étaient froids car à cet âge là ils ne régulent pas eux-mêmes leur température, » ajoute-t-elle désespérée.
L’association les a tout de suite pris en charge pour tenter de les sauver. « C’était très compliqué car ils n’avaient jamais tété leur maman ; ils refusaient complètement le biberon.
En fait, ils se laissaient un peu mourir. Pendant plus de trois semaines, il a fallu les alimenter au goutte-à-goutte tous les quarts d’heure, jour et nuit, » se souvient Magali avec émotion.
Mika, Sia et Noa aujourd'hui.
Malheureusement, l’un d’eux ne survivra pas : Mika, Sia, et Noa perdent leur sœur. Aujourd’hui ils nécessitent encore couverture et bouillotte pour réguler et maintenir leur température fragile. Leur survie en dépend.
L’association Alapate, créée en 2004, sauve et soigne des animaux abandonnés. « On commence doucement à recevoir des subventions de la mairie et du conseil général, mais elles mettent plus de six mois à arriver et restent relativement maigres.
Cela ne couvre même pas un mois de vétérinaire partenaire et nos dépenses en soins sont très élevées, » explique Magali.
« Il n’est pas rare que nous payions ces soins nous-même quand l’association manque de fonds, » confie Magali. Les frais de vétérinaire laissent Alapate sans un sous pour acheter des couvertures, des abris, et de la nourriture, nécessaires à la survie de ses pensionnaires.